Sur Dieu, sur la culture de métissage et du rôle de la femme noire dans la société africaine
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A cœur ouvert…et sans le moindre détour
Dieu est-il du côté des
criminels et bandits culturels ?
De quoi les gens peuvent diable discuter si longtemps en tapant à côté du
fond du problèmes ? Existe-t-il réellement de Dieu qui puisse autoriser ses
adeptes ou ses croyants à aller piller, violer, prendre des enfants de Dieu en
esclavage ? Ce genre de Dieu injuste, criminel ou parjure à la bonté, à la
justice et á la grandeur morale et éthique, existe-t-il ; de quel Dieu
s´agit-il donc ?
En répondant à cette question dans l´expérience de notre histoire
africaine, nous arrivons bien à la conclusion que les religions chrétiennes ou
islamiques qui se sont permis d´aller faire des esclaves de par le monde et en
Afrique particulièrement pendant plus de 400 ans sur notre continent afin de
s´enrichir à bas prix et établir leur hégémonie sur d´autres races et peuples,
ces religions ont été dévoyées de quelque Dieu que ce soit pour exercer des
buts et des intentions coupables et inconciliables avec n´importe quelle pensée
ou évocation déictique. Il s´agit donc, derrière ces religions, de charlatans
criminels, coupables ayant des intentions économiques ou culturelles coupables
et primitifs.
Il ne faut pas l´oublier: si Dieu a créé la terre, la nature et les races
et leurs diverses religions, il n´a fait part que de sa grandeur infinie et
généreuse de tolérance, de respect de la diversité et de démocratie ! Aussi,
tous ceux qui croient qu´ils peuvent imposer leur religion sur terre, faire le
racisme et la discrimination, ou priver des peuples ou de races entières de
droits, de libertés ou même de leur avenir; ceux-là parjurent absolument contre toute religion respectant réellement
Dieu.
Dieu n´est ni criminel, ni ségrégatif, ni violeur ou marchands d´esclaves;
il est plutôt un Dieu de beauté, de bonté, de justice, de bien, d´espérance et de
tolérance ! Celui qui prétend croire en Dieu et qui cependant fait sciemment des
crimes et abus envers les autres, n´est rien d´autre qu´un vulgaire criminel
qui se cache derrière sa foi ou sa religion pour exercer ses bas et primitifs
instincts. On ne doit donc pas se gêner à éconduire et écarter ce genre de
criminel dangereux à la société ou à nos rapports humains. Ceci nous
permettrait, notamment de préserver ce qui est beau, sincère, juste et fiable
dans notre existence. MK
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Une femme noire peut-elle être
fière de ses cheveux crépus ?
Fier de ceci, fier de cela, et puis tous ces complexes et ces préjugés...il
faut arriver à dépasser tout cela. Quand l´industrie s´en mêle ainsi que
l´esthétique affirmée d´une société, les choses changent. Les africains se sont
longtemps, trop longtemps laissés dicter leur sens de l´histoire et ce qu´il
devaient faire ou ne pas faire pour être admis dans la société dominée par
l´absolutisme occidental. Mais n´est-il pas temps de dire que cela suffit ? Peut-être
qu´en élevant ce qui se trouve dans la tête au lieu de s´occuper de l´aspect de
ce qui se trouve sur la tête, on arriverait enfin à comprendre où la liberté et
la démocratie se trouve réellement. Notamment là où on se réalise par soi-même
et comme on le veut et pas comme les
autres voudraient qu´on soit ! L´indépendance et la liberté culturelle et
mentale est à ce prix.
Personnellement je ne me fais pas de problèmes face à des cheveux crépus ou
pas. Les traits, la beauté, l´intelligence et l´effort de quête à se réaliser
dans un idéalisme supérieur m´importent plus. Et je vous assure qu´une femme
qui a de jolis traits, un joli nez, un doux visage et un physique
attrayant...avec ou sans cheveux crépus, elle n´est pas obligée de faire des
efforts pour se faire admirer ! Lorsque les coloniaux occidentaux vinrent en
Afrique nous faire des mulâtres et mulâtresses, ils n´ont pas attendu que les
belles femmes lissent leur cheveux ! Ceci pour vous dire qu´ils les ont, malgré
leur cheveux crépus, admirées.
Alors, au 21ième siècle, cessons d´entretenir de complexes dépassés et veillons plutôt à élever le niveau intellectuel des femmes noires qui est bien bas à mon avis. Ou alors elles doivent plus se battre pour le progrès économique et social en Afrique, la création d´emplois, une meilleure éducation de leurs enfants, pour de meilleures écoles, pour une hygiène culturelle de niveau élevé...nous la voulons, cette femme noire, à nos côté et égal á tout point de vue dans notre dur combat. Nous ne sommes pas arriérés comme des islamiques ! Notre culture est une culture émancipée. Et quand les hommes piétinent ou font des erreurs, les femmes, parce qu´elles sont plus regardantes et plus détaillées, doivent relever le défi et soutenir leurs hommes et leur société en veillant à ce qu´ils se rendent comptes de leurs erreurs et qu´ils réparent leurs écarts. La liberté se fait toujours avec la femme, par sa beauté, son instruction, sa créativité et par la part esthétique et romantique qu´elle apporte résolument à la société. MK
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Sur l´avenir du métissage
culturel
L´occident est entrain de mourir démographiquement en ce moment; son seul
espoir de survie le siècle prochain réside dans les noirs et les arabes qui lui
font des enfants à la pelle actuellement, hélas, bien tard. On oublie cependant
que ces deux dernières races : noire et arabe, risquent bien de dénaturer
la culture occidentale comme telle ! il ne faut tout de même pas oublier ou
nier que la culture occidentale est la culture la plus intellectuelle et la
plus créative que l´histoire humaine ait engendré dans toute l´histoire humaine
jusqu´à ce jour.
Les enfants noirs ou arabes arriveraient-ils, eux qui n´ont pas appris à
élever ou défendre une culture supérieure, à le faire pour leur culture
d´emprunt ou d´adoption ? Tout en ayant été exclus de son partage de responsabilité
et de sincère et solidaire intégration ? J´en doute. On veut seulement employer
ce métissage ou le justifier pour éviter l´écroulement démographique, tout
simplement. Personnellement je ne crois pas au métissage des races, encore
moins des cultures.
Quand une culture ne sait plus honorer son propre devoir de reproduction,
elle est condamnée à perdre son identité. Encore plus si les enfants qu´elle reçoit
ont été longtemps brimés et enfermés à l´exclusion. La meilleure façon de
rester soi-même, même en économie ou dans la culture, c´est de produire
soi-même les facteurs qui perpétuent sa postérité. Jouer à des théories
primitives et banales comme le font certains pour justifier leur stérilité ou
leur corruption culturelle ou raciale face á eux-mêmes, ne mène nulle part.
Bientôt on assistera en occident à des phénomènes tels que des sexagénaires
conduisant des trains, des bus ou pilotant des avions, pompiers croulants…etc, avec
le risque incroyable de défection cardiaque et physique ou intellectuel, comme
on le sait. Seule la culture est le seul lieu où une race se réalise, se
critique et se juge parce que la culture est la plus grande valeur de
l´existence humaine ; et si ce lieu a cessé d´être florissant et positif,
cette culture s´éteint tout simplement. Si l´Afrique continue à mépriser ses
devoirs envers elle-même…elle risque elle aussi de disparaître de ses cultures
actuelles : parce qu´elles auraient été incapables de foisonner et épanouir
les facteurs et les conditions permettant à leurs enfants d´enrichir leurs
cultures respectives, les défendre efficacement et les prospérer. Eh oui, les
cultures meurent aussi…
Musengeshi Katata
"Muntu wa Bantu, Bantu wa
Muntu"
Forum Réalisance