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12 septembre 2010

L´Afrique et son lourd ressentiment esclavagiste envers l´Islam

Article repris du cite nawaat.org.  

 

Esclavage : Le lourd héritage de « la traite orientale »

arab_slavetraders

La traite d’esclaves d’Afrique subsaharienne est inévitablement associée au grand trafic transatlantique organisé à partir de l’Europe et des Amériques, qui a conduit à la déportation d’environ 11 millions d’Africains en Amérique. Bien que cruel et inhumain, considérer le commerce transatlantique d’Africains comme le seul ayant contribué à ce crime contre l’humanité, c’est oublier, d’abord, les traites internes, destinées à satisfaire les besoins en main-d’œuvre de l’Afrique noire pré-coloniale. Elles auraient pourtant concerné selon Patrick Manning, au moins 14 millions de personnes. C’est oublier ensuite et surtout les traites « orientales », qui alimentèrent en esclaves noirs le monde musulman et les régions en relation avec ses circuits commerciaux.

Ces traites, malgré leurs ampleurs, demeurent mal connues. Leurs évaluations chiffrées font l’objet de nombreuses erreurs. Seuls les travaux de l’historien américain Ralph Austen, nous fournissent les données les plus solides sur le sujet Selon lui, dix-sept millions de personnes auraient été déportées par les négriers musulmans entre 650 et 1920. Plus généralement les historiens évaluent de douze à dix-huit millions d’individus le nombre d’Africains victimes de la traite arabe au cours du dernier millénaire. Les comptes précis tenus par l’administration du sultan de Zanzibar ont permis d’évaluer à plus de 700.000 le nombre d’esclaves qui ont transité par l’île à destination du Golfe arabo-persique entre 1830 et 1872. Un chiffre très élevé qui peut justifier largement le chiffre avancé par Ralph Austen. Au total, à elles seules, « les traites orientales » seraient donc à l’origine d’un peu plus de 40 % des 42 millions de personnes déportées par l’ensemble « des traites négrières ». Elles constitueraient ainsi le plus grand commerce négrier de l’histoire.

Le Coran, tout en sacralisant la liberté, entérine l’existence de l’esclavage tout comme d’ailleurs les textes bibliques. Le premier muezzin désigné par le Prophète pour l’appel à la prière est un esclave noir du nom de Bilal originaire d’Éthiopie. Comme les chrétiens du haut Moyen Âge, les musulmans s’abstiennent de réduire en esclavage leurs coreligionnaires mais cette règle souffre de nombreuses transgressions et l’on ne rechigne pas à asservir des musulmans, notamment noirs, au prétexte que leur conversion est récente. La réduction en esclavage de quiconque n’est pas musulman est par ailleurs pas condamnée par La loi islamique ou charia.

La traite arabe des esclaves d’Afrique commence alors en 652, vingt ans après la mort du prophète, lorsque Abdallah ben Sayd impose aux Nubiens la livraison de 360 esclaves par an. Le trafic suit d’abord les routes transsahariennes. Des caravanes vendent à Tombouctou par exemple des chevaux, du sel et des produits manufacturés. Elles en repartent l’année suivante avec de l’or, de l’ivoire, de l’ébène et… des esclaves pour gagner le Maroc, l’Algérie, l’Égypte et, au-delà, le Moyen- Orient. La traite islamique des esclaves se déroulait également autour du Lac de Giad, Au Congo, où les négriers Jallaba commerçaient avec les Kreish et avec les Azande. La route qui suivait la ligne de partage des eaux entre le Nil et le fleuve Congo était également très fréquentée par les négriers arabes qui arrivaient des zones orientales de l’Afrique. Dans l’Afrique orientale, les promoteurs du commerce des esclaves étaient les peuples Musulmans Yao, Fipa, Sangu et Bungu. Sur la rive de l’actuel lac du Malawi fut institué en 1846 le sultanat musulman du Jumbe avec le but précis de favoriser le commerce des esclaves.

Au XIXe siècle se développe aussi la traite maritime entre le port de Zanzibar et les côtes de la mer Rouge et du Golfe persique. Fondée par des chiite en provenance du Golfe persique, Zanzibar (de Zenj et bahr, deux mots arabes qui signifient littoral des Noirs), est une île de l’Océan indien proche du littoral africain où prospéraient des plantations de girofliers sur lesquelles travaillaient des esclaves noirs du continent. Les conditions de travail y étaient épouvantables : «La mortalité était très élevée, ce qui signifie que 15 à 20% des esclaves de Zanzibar (soit entre 9.000 et 12.000 individus) devaient être remplacés chaque année», écrit Catherine Coquery-Vidrovitch.

Le sort de ces esclaves, razziés par les chefs noirs à la solde des marchands arabes, est généralement dramatique. Après l’éprouvant voyage à travers le désert, les mâles sont systématiquement castrés avant leur mise sur le marché, au prix d’une mortalité effrayante. Selon l’anthropologue et économiste Tidiane N’Diyae : «Le douloureux chapitre de la déportation des Africains en terre d’Islam est comparable à un génocide. Cette déportation ne s’est pas seulement limitée à la privation de liberté et au travail forcé. Elle fut aussi – et dans une large mesure – une véritable entreprise programmée de ce que l’on pourrait qualifier d’’« extinction ethnique par castration » ».

On peut d’ailleurs s’étonner de la quasi-inexistence de descendants d’esclaves noires en pays musulmans alors qu’ils sont 70 millions sur le continent américain. Les colonisateurs européens ont interrompu ces pratiques au début du XXe siècle.

Malgré l’ampleur de la traite « orientale », il existe une tendance à dédramatiser leurs rôles et leurs impacts et à en minimiser la dureté. Cette complaisance est d’une part une forme de réaction aux exagérations des explorateurs européens de la fin du XIXe siècle qui œuvraient pour abolir la traite en Afrique et qui ont parfois noirci la réalité des traites musulmane, insistant sur la cruauté des négriers. D’autre part, la recherche se heurte dans ce domaine à des tabous. « Pour le moment, écrivait Bernard Lewis en 1993, l’esclavage en terre d’islam reste un sujet à la fois obscur et hypersensible, dont la seule mention est souvent ressentie comme le signe d’intentions hostiles. » Analysant des manuels scolaires du monde entier, Marc Ferro écrivait en 1981, à propos d’un livre de la classe de quatrième utilisé en Afrique francophone : « La main a tremblé, une fois de plus, dès qu’il s’agit d’évoquer les crimes commis par les Arabes [...] alors que l’inventaire des crimes commis par les Européens occupe, pour sa part, et à juste titre, des pages entières ».

Un déni qui s’explique aussi par des raccourcis idéologiques dépassés, comme la « solidarité » affichée entre pays d’Afrique noire, parfois musulmans, et le monde musulman, du fait d’une commune marginalisation à l’époque de la bipolarisation Est-Ouest, ou du sentiment de ne faire qu’un seul dans un « Sud » défavorisé, par opposition à un « Nord » développé. Le tout est renforcé par des témoignages comme celui d’Emily Rùete. Née Salmé bint Saïd, fille du sultan de Zanzibar et d’Oman (1791- 1856) qui a dû quitter l’île de l’océan Indien pour épouser un commerçant allemand, Dans ses Mémoires, publiés en allemand en 1886, elle écrivait : « [il] ne faut pas comparer l’esclavage oriental à celui qui existe en Amérique [car, pour le premier,] une fois arrivés au terme du voyage, les esclaves sont généralement bien traités sous tous les rapports ».

De nombreux facteurs ont également contribué à minorer l’ampleur des traites orientales par rapport aux traites occidentales. La colonisation de l’Afrique noire par l’Europe ayant suivi la fin du trafic atlantique rendant les réalités esclavagistes occidentales encore plus criantes. Inversement, l’influence des pays d’islam, pourtant parfois plus profonde que celle de l’Europe, fut plus diffuse et souvent plus intériorisée. Il est vrai aussi que « la traite orientale » comportait des caractéristiques qui en réduisaient la visibilité : elle se déroulait en partie à l’intérieur du continent africain alors que le trafic occidental faisait passer les esclaves d’un continent à un autre.

Ce lourd passé occulté par les pays arabes et musulmans reste encore une réalité dans certains d’entre eux. Bien que sous d’autres formes il n’en demeure pas moins une honte pour les pays qui le pratiquent. Il y aurait encore aujourd’hui des centaines de milliers d’adultes asservis, auxquels il faut ajouter autant d’enfants travaillant dans des conditions voisines de l’esclavage à travers le monde musulman. Les travailleurs, d’Afrique de l’Est pour la plupart, mais également d’autres zones du continent, les ressortissants des pays du sous-continent indien, Sri-lankais et Philippins dans leur écrasante majorité sans oublier les populations locales, sont concernées par ces nouvelles formes d’esclavage. Si les pays du Golf sont les plus décriés cette réalité concerne la majorité des pays arabes et musulman.

Alors cette “longue traînée d’inhumanité” qui fut « la traite orientale » à travers les siècles doit nous enseigner – qu’au-delà de la notion de « repentance », notion bien discutable, qui laisse poindre l’anachronisme – qu’il s’agit d’un combat politique contre ces pratiques inhumaines. On conviendra que l’urgence est moins au mea culpa sur des temps révolus qu’à l’action énergique des États et des organismes locaux et internationaux face à l’esclavage moderne. Une tachent noire supplémentaire dans notre histoire, déjà entachée par ces pratiques d’un autre temps.

Khaoula Benzarti

Tunisienne Doctorante en Histoire coloniale de la Tunisie

 

Forum Réalisance Sélection

 

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Commentaires
S
Au prix de 400 ans d´esclavage suivis par la colonisation et aujourd´hui la francafrique. Et aujourd´hui où l´esclave américain noir d´hier vit mieux que l´africain qui n´a jamis eu à subir cette monstruosité culturelle, certains africains faibles d´esprit se demandent déjà s´il ne faut pas se livrer à quelque esclavage économique...pour être sûr demain de vivre mieux devant la pauvreté et le débâcle économique actuel de l´Afrique. <br /> <br /> On se demande si le réalisme des intellectuels africains ainsi que leur objectivité comprennent cette poignante et douloureuse évidence ? Et si oui, que comptent-t-elle mettre sur pied en matière de stratégie culturelle de développement pour endiguer cette négative et destructive évolution des choses ? Ou s´agissait-il encore de mendier, de continuer à courber l´échine, d´importer et jeter ses accumulations sociales à tous les vents ou même se laisser enterrer vivant dans la pauvreté et l´indigence en subissant malgré soi le pillage et le dumping des exportation occidentales ?<br /> <br /> Il faut bien se dire que face à tout ce que nous avons dû souffrir dans notre histoire...il y a bien lieu de se demander si nous tendons encore le cou pour souffrir encore plus, ou si nous nous organisons pour ne plus connaître ces atrocités de la part de gens qui aujourd´hui ne se gênent pas à nous imposer leurs intérêts et un sens de l´histoire qui reniait les nôtres ou notre réel développement. Dans tout cela il faut bien le dire bien haut: que fait donc l´intelligence sociale et culturelle de la race noire, que diable ? Dort-elle encore et se laisse, comme par le passé, mener à l´échaffaud comme des moutons sans conscience et sans droit, ou s´était-elle enfin réveillée et était prête à se défendre valablement sinon énergiquement ? <br /> <br /> Shaka Bantou, j´ai dit !<br /> Forum Réalisance
M
Le Coran qui aurait été brûlé aux Etats-Unis, ce n´est que du papier ! Rien que du vulgaire papier américain ! J´estime qu´on doit cesser de jouer à ce jeu primitif qui octroie à de vulgaires biens de consommation des vertus symboliques sacrées. Celui qui joue à ce jeu en fermant les yeux sur sa raison et son bon sens est soit diminué intellectuellement ou il est tout simplement demeuré dans une appréciation objective de nos valeurs humaines et sociales. Car aller bombarder des êtres humains injustement pour leur prétrole ou contraindre avec des bombes et des attentats des gens libres et innocents à adopter une religion étrangère, affamer des peuples entiers afin de s´enrichir ou soutenir des dictateurs criminels à piller et nuire à leur propre pays; tout cela est bien plus criminel et amoral que de brûler du simple Coran en papier ou quelques drapeaux étrangers !<br /> <br /> je n´ai personnellement pas aimé l´intervention d´Obama que je considère comme nuisible au symbolisme culturel de la démocratie, dans ses contenus comme dans ses libertés. Si les islamistes veulent nous faire avaler qu´un vulgaire papier imprimé contenant des sourates du Coran était devenu sacré parce qu´il représentait le Coran, libre à eux, mais nous nous savons que le livre est tout simplement papier vulgaire et qu´il peut être recyclé, brûlé, vendu, etc. Jouer au jeu de donner raison à ces primitifs de l´absolutisme du sacré coranique, c´est soit se ridiculiser intellectuellement, soit se soumettre à un dangereux symbolisme qui a le défaut de nous assimiler symboliquement à des valeurs cabalistiques. Que ces islamistes entretiennent cet amour du papier imprimé du Coran chez eux, libre à eux, mais qu´ils imposent cela au monde entier...cela devient problématique et pour le moins bassement autoritaire. <br /> <br /> Avec leurs encoutrements distinctifs, leur primitif égard à l´endroit des femmes, leur Charia avec des jugement primitifs de démembrement ou d´exécution de femmes insoumises ou rebelle par empierrement, ces gens nous veulent nous imposer plus que notre civilisation et notre culture internationale ne veut et ne peux supporter. La tolérance semble pour eux une faiblesse leur donnant le droit de nous imposer leurs mauvaises, leurs grasses et leurs primitives traditions. Ceci doit finir; il n´est pas normal qu´un président des Etats-unis se mêle de tels absurdités et se laisse ainsi instrumentaliser ! Mais dites donc, sait-on encore ce que c´est que du papier ou pas en occident ? Sait-on encore ce que c´est qu´une valeur sociale de véritable contenu ßethique et moral ou culturel ? Ou sommes-nous déjà à la foire aux symboles, aux pépinières de guerres gratuites et aux symbolisme cabalistique et fantaisiste qu´on fait avaler aux autres ? On peut être en crise économique et culturelle, mais à ce point de cécité ? Dans quel monde vivons-nous aujourd´hui, que diable; le soleil est plus sacré pour nous que le Coran ! Sans le Coran nous pouvons bien vivre; après tout avant l´arrivée du Coran au monde, celui-ci ne s´en portait que bien, mais sans le soleil, combien de temps existerions-nous encore ? Faut tout de même user de l´esprit et de la raison, là dedans et cesser d´enfumer les gens; cela commence à taper sur le bon sens...tonnerre de crise, elle semble rendre bien idiot ! <br /> <br /> Musengeshi Katata<br /> FR
S
...mais il ne doit pas oublier que la tolérance n´est pas à sens unique ou l´injonction, pour faire bien, de se laisser enc...de nouveau par les criminels et les salauds d´hier ! Ceci est valable autant pour les islamistes que pour les chrétiens. Mais à tout prendre je préfère les chrétiens, pourquoi ? Mais parce qu´ils sont plus évolués dans la critique de leur propre religion et de leurs philosophies politiques et économiques - du moins, on eut parler avec eux même s´ils ne font que ce qu´ils ont à coeur comme cette crise économique le prouve. A force de croire que les autres devaient s´appauvrir et rester sous développés, ils souffrent aujourd´hui de l´assaut économique et commercial des bas prix et bas coûts de production. Si tout le monde avait plus ou moins le même niveau économique ou avoisinant, les douleurs occidentales n´en seraient pas au désespoir qu´elle sont actuellement face à la Chine...et demain l´Inde et le Brésil.<br /> <br /> Cette histoire m´a fait penser à Mouhammad Ali et Malcolm X qui se laissèrent convertir à l´Islam sans savoir que l´islam était encore pire que le christianisme en matière d´esclavage et de déni de droits et de liberté au noirs. Ce qu´on peut être aveugle et se tromper, n´est-ce pas ! Tout cela parce que les historiens de l´islam ont tout mis en oeuvre pour cacher la vérité ou ne pas la mettre à jour. L´islam est bien une religion étrangère à l´Afrique et ne lui a apporté que mépris, crimes, abus physiques et moraux incroyables sur les noirs. Les africains aujourd´hui islamisés se convertirent pour ne pas être vendus en esclaves ou massacrés tout simplement. Quand on entend ces gens traiter aujourd´hui les noirs de frères...mon Dieu cette fausseté; à part cela ils veulent tous vous convertir à l´islam comme si c´était l´Islam qui avait créé le monde. Or l´islam est postérieur au monde qui existait déjà avec plusieurs races, plusieurs religions, plusieurs langues, plusieurs pays...et la race noire libre et souveraine de son avenir et de son existence !<br /> <br /> Shaka Bantou, j´ai dit !<br /> Forum Réalisance
M
Je remercie infiniment l´auteur de cet article, ô combien infiniment parce que son travail de Doctorat permettra certainement de lever des équivoques sur un chapitre curieusement mis sous silence dans notre histoire africaine. Les causes de ces douteux silences sont bien connus de l´auteur et de tous les connaisseurs: on veut seulement garder l´Afrique d´une nouvelle plaie qui ouvrirait, sur la mémoire de ce contiment fort méprisé et maltraité dans le passe, un nouveau champ de méfiance et de mésentente. <br /> <br /> L´histoire, on ne peut pas l´éviter ou la falsifier à longueur des temps pour cacher la vérité ou par opportunisme temporel. Les africains, comme tous les habitants du monde et des autres continents, doivent face face à leur histoire afin de mieux se déterminer dans l´avenir. Pourquoi cacherions-nous la vérité sur l´esclavage islamique si nous reprochons aux occidentaux leur esclavage ou les massacres des indiens d´Amérique ou ceux de l´Atlantique ? Il n´y a aucune raison d´épargner les islamistes de leurs méfaits ou avoir plus d´égards envers leurs crimes. Aucune et ils doivent eux aussi commencer rapidement à reconnaître l´histoire au lieu de mener contre elle une guerre d´assombrissement.<br /> <br /> Ce qui dérange particulièrement en ce moment, c´est que l´Islam défraye la chronique et prétend être la parfaite religion du monde...ces méfaits du passé leur montreront, à ceux qui illusoirement et abusivement prétendent cela, qu´ils ont bien de raisons d´être modeste. L´islam ne doit pas croire qu´elle est au-delà des droits humains ou du regard critique de l´histoire, loin de là. Si elle persiste à le faire et s´enferme dans sa raideur ou son absolutisme actuel, cette religion, á la longue, risque bien de perdre dans le monde la confiance le droit de séance qui lui revient dans le respect du droit à la mutuelle tolérance.<br /> <br /> Musengeshi Katata<br /> FR
S
Aujourd´hui ces islamistes nous traitent de frères...or dans le passé ils ne se gênèrent pas à mépriser et priver de droits et de libertés à des millions de noirs au nom d´une religion actuellement faussement prétendue la meilleure du monde. Ce poison dans nos cultures et notre histoire veut perpétuer son absolutisme et ses crimes en voulant instaurer la Charia partout en Afrique...Il est grand temps que les africins ouvrent les yeux et demandent à cet Islam cannibale et envahissant sans pour autant s´émanciper ou devenir tolérant, de cesser son envahissement primitif. <br /> <br /> Shaka Bantou, j´ai dit !<br /> Forum Réalisance
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