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5 février 2007

Patrick Eric Mampouya à la diaspora

Un appel patriotique au rassemblement et à la prise de responsabilités.

Si nous voulons le changement, nous devons y mettre la main

« Face aux moments difficiles et aux défis, celui qui ne se lève pas pour se battre, celui qui n´organise ni la lutte, ni le changement ; celui-là a déjà perdu. »  Musengeshi Katata.

Chers amis et frères de la diaspora ; chers patriotes de la liberté et de l´espoir,

Il n'est pas question de nous exonérer de nos responsabilités, car Sassou n'est pas le seul responsable des grands maux qui frappent notre pays ; chacun de nous devrait se poser la question de savoir ce qu'il a fait pour ce pays qui est le nôtre.

Après qu'on ait tous pris la fuite face à la misère, à la pauvreté et aux restrictions des libertés; on peut cependant encore oeuvrer pour ce pays. Nos hésitations, nos peurs, notre dispersion et notre manque d'engagement sont autant de coup porter à ce pays.

Les structures qui oeuvrent pour le Congo (Partis politiques, cercles de réflexions et autres mouvements) sont sclérosés par leurs dirigeants qui se disputent le leadership. A force de vouloir tirer la couverture sur soi, toutes les bonnes volontés finissent par se paralyser et font le jeu du dictateur Sassou.

En France, Sarkozy n'a pas créé un mouvement à lui pour satisfaire ses ambitions ; bien au contraire, il a investit un mouvement déjà existant pour le transformer de l'intérieur et le mettre à son service.

Au lieu de multiplier les groupes et associations, nous devrions investir et renforcer en masse les partis politiques existants pour y créer des courants, y apporter d'autres manières de fonctionnements, des idées neuves et des concepts d'aujourd'hui.

Les Congolais sont en général des personnes de qualités et bien formés (quand ils sont formés); pourquoi donc n'arrivons nous pas à nous organiser, à nous rassembler autour d'un leader, d'un parti ou d'un mouvement pour le bien, pour l´avenir des nôtres et celui de notre libre et souverain épanouissement ?

La bêtise serait elle génétique chez les Congolais ?

Patrick Eric Mampouya

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Commentaires
V
Qin 110318<br /> We planned our weddings vibram five finger shoes with the help of Barbie dolls and the tiny purple wild flowers growing in our side yard. We became scientists and tested concoctions of milk, orange juice, and mouthwash. We ate handfuls of vibram fivefingers kso bittersweet chocolate chips and licked peanut butter off spoons. When we ran out of sweets to eat, we snitched sugary Flintstones vitamins out of the vibram kso trek medicine cabinet. We became masters of the Kraft macaroni and cheese lunch, and we dutifully called our mother at work three times a day to give her updates on our vibram five fingers sprint adventures. But don't call too often or speak too loudly or whine too much, we told ourselves, or else they'll get annoyed and she'll get fired and the vibram five fingers classic summers will end.<br /> http://www.onfingershoes.com/vibram-five-fingers-kso-trek-c-4.html
M
Cher Nimon, parfois je pense que les gens autour de nous sont, soit abrutis, soit aveugles et faussement pédants. Sinon, diable comment cela s´explique-t-il que vous vous ayez vu et compris ce que tout le monde cotoie et supporte chaque jour sans protester énergiquement ? Continuer. Que ceux qui dorment se réveillent: ceux à qui on prive l´avenir et le bien-être, ce sont les nôtre que diable !!!! MK
N
Comment pouvons nous comprendre et expliquer que dans un pays au sol et sous sol riches, comme le Congo que nous puissions trouvez des jeunes dont la tranche d’âge varie entre 16 et 35 ans passent le plus clair de leur temps, à tourner en rond dans les quartiers, dans le plus total désœuvrement sans perspectives d’intégration sociale et professionnelle. Tout le vécu de ces jeunes rejetés d’une certaine façon par le système scolaire, méprisés et rejetés par la société, les conduit à l’indéfectible conviction qu’ils sont totalement superflus qu’ils sont de trop dans ce pays. La lutte contre les inégalités sociales me parait donc une préoccupation politique majeure. Où ces inégalités sont tellement criantes au point de menacer l’équilibre de notre société. <br /> Aussi il est ahurissant d’observer qu’au Congo que la question sociale est totalement absente des actions politiques ensuite que certains élus errent d’un parti à un autre au gré de la recherche de leurs seuls intérêts. <br /> Je formule donc un appel, un appel qui convie tous les jeunes du Congo à la prise de leur responsabilité à développer des valeurs de combativité, de persévérance et de détermination pour inverser la tendance. Impliquons-nous d’une façon ou d’une autre dans la gestion de la chose publique. Mobilisons nous en créant un mouvement national de lutte contre les inégalités sociales au Congo. Ce n’est qu’à cette condition que nous pourrons arracher notre liberté et assurer la relève pour l’avenir de notre cher et beau pays.
N
Le Congo est à la croisée des chemins. Aujourd'hui, plus besoin de le rappeler, le Congo est ruiné et détruit. Plusieurs générations sont sacrifiées, disons la notre, celle de nos enfants ainsi que celle de nos petits enfants. Tout a été saccagé, détruit, démoli dans tous les secteurs. Aucun secteur de la vie active n'a été épargné. Les caisses de l'Etat sont pillées, dévalisées éhontément et en toute impunité ; le sens sacré de la vie humaine est bafouée tous les jours. Des femmes, des hommes, des jeunes, sont dans le plus total désœuvrement sans perspectives d’intégrations sociales et professionnelles. Tout le vécu de ces jeunes rejetés par le régime actuel, les conduit à l’indéfectible conviction qu’ils sont de trop au Congo.je me permettrai de dire que même les colons français n’ont pas piller le pays à ce niveau. Longtemps, le peuple congolais a attendu qu'un ou des éléments issus de la classe politique se lèvent pour dénoncer toutes ces inégalités. Mieux vaut tard que jamais dit-on, voilà qu'un des fils du pays en dépit de sa relation familiale avec le sois disant président du Congo s'est levé et a dit : "NON, ARRETTER". C'est là une action majeure qui ne doit pas nous laisser indifférents, et que les Congolais ne doivent pas prendre à la légère. Car, actuellement, à moins de se masturber l'esprit, aucun homme seul, aucune région seule, aucune tribu seule, aucune ethnie seule, aucun parti politique seul, ne peut plus prétendre en finir avec le système de l'indignité nationale en place dans notre pays, sans un sursaut national. <br /> Le combat, la prise de conscience et de responsabilité du général Ngouelondele, devraient interpeller tous les Congolais, indifféremment de leurs origines ethno-tribales. <br /> A la lumière de ce qui vient d’être dit, force m’arrive de dire et d’affirmer sans risque de me tromper , que l'heure devrait être à la prise de conscience et de responsabilité, à l’union des forces et des énergies, indifféremment de nos familles politiques respectives, pour aller vers la reconstruction et le développement de la Nation,; l'heure devrait être à l’action et au rassemblement de tous les congolais de bonne volonté, patriotes et nationaliste , pour mettre fin à la bêtise et à l’irresponsabilité de cette classe politique
M
Tu as raison, JP; seulement, quand on le sait; on y remèdie le plus rapidement que possible. Mais si on se met à construire des villes sans canalisations, à entretenir des écoles sans au préalable avoir élaboré l´idéal intellectuel, rationnel et culturel qu´on veut imprégner à ses propres enfants...on le voit, cela ne mène pas à des résultats fructueux et solides. Il faut refaire le travail de fond plutôt que de jouer le sous fiffre ou de se ridiculiser comme des clown sans culture. Nous avons pourtant un belle et profonde culture ! Musengeshi Katata. Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu
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