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24 août 2009

Sur le prétendu détournement démocratique africain

Commentaire sur grioo sur l´article : http://www.grioo.com/avis,afrique_le_detournement_democratique,17639.html

 

Une honteuse et scandaleuse mystification de la logique et du bon sens

 

Comment paie-t-on les fonctionnaires chargés de protéger les institutions de la démocratie ? Avec de l´argent, bien entendu, mais d´où vient-il si le peuple est pauvre et s´il ne produit rien ? Aussi, les africains devraient plutôt s´occuper d´abord d´économie, de technologie et de technicité que de vouloir se doter d´institutions de parade qui coûtent des yeux à la tête et appauvrissent le peuple plutôt qu´elles ne le servent. Faut pas mettre la charrue devant les boeufs. Cette erreur est faite par tous les parvenus africains actuels et par ceux qui voudraient brouiller la logique africaine en l´empêchant de sortir de son aliénation. On ne va pas épouser une femme quand on ne sait pas la nourrir elle et ses futurs enfants. Ceci explique notamment l´appauvrissement continu des africains actuellement: ils aiment se payer des apparences que leurs revenus ne leur permettent pas. Alors on recourt à l´aide étrangère...et on affame ses femmes et ses enfants en leur privant d´investissements et d´avenir. Tout cela pour une démocratie vide et sans le moindre fondement économique et social. Ce genre de démocratie est une horrible absurdité. Il ne faut pas être un génie pour comprendre cela. Pas du tout. Mais celui qui ne l´a pas compris, celui-là est le pire des idiots.

Musengeshi Katata

"Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu"

 

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Commentaires
S
A ce point que ce continent, dans ses jugements, ses institutions, sa production et même dans sa pensée sociale et son imaginaire, est tourmenté par les diables destructeurs de l´ignorance, de traditions dépassées et désuètes, d´un manque rationnel affirmé par la pratique journalière d´une raison existentielle établie et éprouvée. Tout cela mène à un drame rationnel social minant les efforts et l´intelligence des gens doués et hautement créatifs. On peut changer rapidement cela avec l´éducation, la publication d´ouvrages et de lectures permettant de hausser le niveau imaginaire et logique des populations. Cela permettait aussi de lutter contre le dérangeant complexe d´infériorité hérité de la colonisation et de la stagnation économique. Mais le plus grand moyen de réparer la mémoire sociale et culturelle africaine, c´est inévitablement de lui donner les normes et les moyens lui permettant de vaincre ses misères et sa pauvreté. Cela implique une véritable révolution mentale et intellectuelle. <br /> <br /> Maintenant, à propos de l´occident, Katata, ne soyons pas aveugles : cet occident a crû qu´elle pouvait, en faussant la définition de la liberté ou en se l´appropriant exclusivement, échapper à l´impératif existentiel catégorique du respect de l´équilibre. Où en sommes-nous donc aujourd´hui donc avec cette crise sinon au point où armée jusqu´aux dents, maîtrisant apparemment science et technologie, cette culture, dans sa rage de surproduction, n´arrive plus à vendre pour entretenir sa croissance et ses excès. La vérité est pourtant simple : tous ceux que l´occident avait, dans sa rapacité et ses exclusions systématiques, empêché à se réaliser, manquent aujourd´hui comme clients et acheteurs crédibles à son industrie expansive. Comme quoi la liberté, on ne peut pas la réclamer pour soi-même tout en la refusant à ceux auxquels on exigeait de la respecter et de l´entretenir au détriment de leur propres droits et libertés de réalisation économique et culturelle. <br /> <br /> Je suis impatient de voir quand l´occident se rendra compte de ses erreurs…logiques flagrantes, et surtout somment elle fera pour changer de fusil d´épaule. A mon avis on continuera à mentir et à faire semblant d´être les plus riches et les plus puissants de la terre…combien de temps cela durera-t-il encore, cependant que comme l´Amérique on serait honteusement contraint à vendre aux chinois ses propres dettes ! Autre chose : cette crise a renversé tous les principes que l´occident croyait qu´ils étaient fondamentaux à son modèle de gestion et de capitalisation, à savoir la liberté de capitalisation des banques qui se mirent tout à coup dans cette crise à quêter l´assistance publique pour survivre ! Quant aux Etats, il ne leur reste en ce moment que la fuite en avant ou l´art d´endetter lourdement leurs générations futures. Et pardon, cette crise ne fait que commencer…il va y avoir des pleurs et des grincements de dents. Or, tout cet alarmant déséquilibre aurait pu être évité si on avait accepté que les autres cultures et nations étaient tout aussi partie prenante du bien-être et de l´accumulation mondiale. Au lieu de cela on les a écarté sciemment des flux financiers en les privant d´investissements pour les garder pauvres et nécessiteux afin d´user à loisir de leurs matières premières et de leurs marchés.<br /> <br /> Hé oui cette cupidité et ce néolibéralisme plus rapace et que le bon sens et la raison ! Maintenant il faut mordre dans la poire aigre et se coincer les fesses dans une étroite peau de chagrin…en attendant que les choses se décantent. Or celles-ci ne redeviendront plus jamais ce qu´elles étaient hier car la Chine était déjà à nos portes, puis viendra l´Inde…Le recul occidental est inévitable. A force de ne pas avoir voulu reconnaître aux autres ce qu´elle réclamait pour elle-même, la culture occidentale s´est mise elle-même en danger de recul ou d´écrasement sans avertissement aucun. Tout abus nuit, seul l´équilibre sauve. Maintenant, Katata, combien de temps encore crois-tu que l´occident continuera à nous mener par le bout du nez et nous vendre une logique existentielle dépassée et bancale ? Plus longtemps à mon avis ; en tout cas elle est aujourd´hui acculée à accepter ce qu´hier elle se refusait systématiquement à reconnaître. Cette pauvre génialité philosophique, n´est-ce pas ? La facture sera longue et horriblement douloureuse pour des gens habitués à vivre sur grands pieds aux détriments des autres. Quand je pense que ces gens sont venus nous imposer à nous suicider logiquement, culturellement et économiquement…afin qu´ils s´engraissent et se crient des Dieux ; ce qui a dérouté et aliéné notre sens de l´histoire. Et aujourd´hui ils sont contraints à nous dire : pitié, développez-vous donc rapidement, nous avons tant besoin de vos marchés et de votre pouvoir d´achat pour survivre et maintenir nos hauts niveaux de vie ! Colossal. Absolument colossal. Si Simon Kimbangu était encore vivant et pouvait voir cela ; il jubilerait de joie ! Echec et mat sur toute la ligne. Une grande culture sabordée par sa propre rapacité et son manque de lucidité culturel et économique…pour le moins surprenant. <br /> <br /> Shaka Bantou, j´ai dit !<br /> Forum Réalisance
M
C´est bien de savoir qu´on a des ennemis, ce qui logiquement devrait inciter les africains bien pensants à la vigilance et á la protection étroite de leurs intérêts; mais le plus important n´est-il pas de répondre adéquatement aux exigences complexes de l´existence moderne ? Je le pense bien. Et sur ce point de vue l´africain ne brille pas actuellement...ni l´énergie, ni la technologie, la science, la connaissance, l´organisation urbaine moderne, les progrès de la médecine ne sont actuellement mis au service de ses sociétés et de son bien-être. Alors, veut-on continuer à s´exiler en occident, à fouiller dans le passé des pyramides et des pharaons vainement ou à courir derrière un passé victimaire de l´esclavage sans le comprendre réellement...pour ne pas prendre en main ses responsabilités face au présent et à l´avenir de ses propres enfants ?<br /> <br /> Bien sûr nous savons tous que tout le monde n´est pas à mesure de comprendre réellement ce qui se passe, pire encore ce qu´il faut faire pour sortir de notre impasse actuelle...mais ce qui révolte, ce sont les incongruités et les inepties concoctées par quelques esprits attardés voulant se faire passer pour des lumières de l´intelligence africaine. Des gens qui se débattaient avec leur propre bon sens qu´ils n´étaient ni capables de dénouer la dialectique complexe de notre existentialisme actuel, ni devaincre leur ignorance ou leur médiocrité. Cela explique, entre autre, pourquoi aujourd´hui l´Afrique, malgré son passé glorieux et riche en sciences et cultures (Pyramides, Bâtons d´Ishango, bière, vin, mathématiques...etc) n´arrive pas à renouer avec ses dons intellectuels et créatifs passés pour épanouir son présent et protéger valablement l´avenir de ses cultures et celui de ses sociétés.<br /> <br /> Aussi, la question se pose et reste ouverte: les africains allaient-ils continuer à se tromper eux-mêmes en se prétendant de génies alors qu´ils ne savaient même pas garantir l´eau pure à leurs propres enfants, ou se laisseraient-ils encore plumer et abuser comme hier quitte à cultiver comme Kimble l´art de fuir son ombre et ses responsabilités ? Ou face à la menace de pauvreté et de misère qui les prenait à la gorge, ils allaient enfin faire preuve de créativité et d´intelligence pour sortir de l´impasse ? A ces questions, il n´y a que les africains aimant passionnément ce beau continent et réellement doués et intelligents pour y répondre. Le temps des idiots, des illuminés et des tonneaux vides incapables et roturiers est dépassé.<br /> <br /> Musengeshi Katata<br /> "Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu"<br /> FR
S
De ceux qui veulent garder les noirs sous leur tutelle, des incorrigibles qui croient encore que les noirs sont leurs objets ou leurs esclaves comme d´antan, ou encore ceux que la liberté de l´homme noir dérange énormément, parce que leurs intérêts et surtout leur arrogance en souffriraient…il y en a de tous les genres. Mais cela ne doit pas nous empêcher de faire ce que nous devons faire : chercher la vérité et s´en munir pour retrouver notre liberté réelle et nos droits à l´exercice de notre souveraineté sociohistorique indépendante et pleinement exercée. Dites cela à un occidental vous le verrez rougir de rage intérieure : pour lui l´homme noir, fondamentalement, n´a droit qu´à une liberté formelle que la culture occidentale sera prêt, dans la mesure de ses intérêts, à lui reconnaître.<br /> <br /> Et quand on sait cela, on ne se met pas à dépenser ses efforts à jouer le sous fifre ou le clown historique courant sans orientation, sans le moindre conscience ou identité culturelle le monde sans savoir où il va et ce qu´il est ; on concentre plut^1ot par contre tous ses efforts pour déjouer intelligiblement cette honteuse machination. La montée de la Chine nous est propice, mais ce n´est pas pour cela que nous sommes devenus chinois…La Chine montre simplement qu´il n´y a pas seulement la culture occidentale qui a droit à la liberté…les autres cultures aussi. Et c´est excellent pour débusquer les occidentaux de leurs excès et de leur indécent et aveugle hégémonisme dont on a apprécié dans le passé de son absolutisme cruel et inhumain. <br /> <br /> Et malgré tout, nous sommes et nous resterons africains. On a tendance en ce moment à nous instrumentaliser en nous jetant en pâture au sourd duel qui oppose l´occident et la Chine en territoire africain des matières premières. Toutes ces deux puissances n´ont rien à faire en Afrique, à moins, bien sûr d´y être invitées et encore, d´y respecter nos intérêts et nos droits. Dans tous les cas, nous devons éviter d´être le bouc émissaire dans un conflit qui n´est ni le nôtre, ni dans notre intérêt. A la fin, celui qui aura vraiment compris que l´Afrique appartient aux africains, celui-là rentrera chez lui et gardera avec nous des relations autant fructueuses que regardantes du bien-être et des intérêts économiques et culturels de nos peuples respectifs. Mais l´Afrique, cette terre de feu et de lumière, ce bout de grâce où nos pères et nos mères ont enterré leurs rêves, leurs larmes, leurs prières indélébiles dans le temps et l´espace…cette Afrique éternelle est Nôtre, qu´on ne s´y trompe pas. Ceci veut aussi dire que nous devons nous presser de lui rendre son amour et l´habiller de sa robe de gala : la prochaine fête de l´histoire africaine est proche.<br /> <br /> Shaka Bantou, j´ai dit !<br /> Forum Réalisance
M
Nos déboires actuels sont liés à voir les choses trop facilement. Et si nous continuons ainsi les choses, pour notre avenir et celui des nôtres, ne changeront que sporadiquement, sinon pas du tout. <br /> <br /> Aucune race dans l´histoire humaine n´a autant souffert que la nôtre, aucune race n´a été autant préjudiciée dans le courant tumultueux de l´histoire humaine comme la nôtre. Et c´est vrai aussi que nos conditions de vie actuelles sont aussi le résultat de nos erreurs d´estimation et celui de notre retard d´évolution technique, militaire, industriel. Cela nous devons le reconnaître si nous voulons changer les choses car alors nous savons ce qui est faux, ce qui a été négligé et ce qu´il faut changer pour éviter que notre situation ne continue à se détériorer. Seul celui qui sait se juger objectivement est capable de s´améliorer parce qu´il sait où il a commis des erreurs et ce qu´il faut faire pour les réparer. <br /> <br /> Non, mes amis, il ne s´agit ni de racisme, ni d´illumination égocentrique quelconque luttant désespérément à se cacher de la vérité en fuyant ses responsabilités ou l´ombre épuisante de ses propres erreurs. Il ne s´agit pas non plus de faire comme si tout allait bien ou qu´on était sur la bonne voie pendant que nos enfants souffraient du minimum et que nos cadres instruits immigraient à l´étranger en grande saignée. Pour cela les résultats et l´état actuel de l´Afrique sont trop sérieux pour jouer à ce faux jeu trompeur. Il s´agit, au-delà de la pauvreté et de la misère qui règne en Afrique et pratiquement dans tout le monde noir, de se demander : comment pouvons-nous changer les choses et permettre à notre fierté humaine, à notre sens le plus beau et le plus créatif de l´existence de s´exprimer et de s´épanouir librement…et souverainement ? Cela, nous ne le devons pas seulement à nous-mêmes, nous le devons aussi à notre culture, aux prières reculées de nos ancêtres, autant qu´au monde entier, qu´on ne s´y trompe !<br /> <br /> Aujourd´hui l´occident qui croyait que nous n´étions que petites quantités négligeable et corvéable à loisir de l´histoire, cet occident est entrain d´apprendre qu´elle a besoin de nous. Pas seulement de nos ressources en matières premières et de nos richesses humaines ou de nos matières précieuses, mais aussi de nos marchés et de nos capacités à entreprendre des rapports commerciaux avec eux. Cette dernière raison devient de plus en plus évidente à mesure que la Chine, l´Inde et le Brésil et autres pays émergents enlèvent une bonne partie du commerce international des mains de la domination occidentale. L´Occident apprend à ses dépends qu´on peut produire, certes, mais si on ne vend pas…on est tout simplement en manque de revenus et c´est dire en banqueroute. Le développement de l´Afrique qui fut hier méprisé et volontairement étouffé devient importante sinon sine qua non à l´avenir de l´économie mondiale. Au fait, nos larmes et nos souffrances ont été entendus par la raison et le bon sens du grand Dieu de l´histoire économique et financière qui gère la destinée humaine : la preuve que notre développement, l´éclosion de nos cultures et de nos sociétés sont tout aussi importantes que celles qui croyaient que l´histoire leur appartenaient. <br /> <br /> Et maintenant ? Tournerons-nous le dos à notre propre chance au moment où l´histoire et cela sans le moindre doute, nous tendait les bras grands ouverts ? Comment pouvons-nous nous abaisser à une telle cécité, si toute notre histoire, toutes nos larmes et nos souffrances n´ont attendu que ce moment de reconnaissance effective pour restaurer nos droits et nos libertés trompés ou abusés ? C´est bien à nous maintenant de prouver que malgré le passé et son poids affligeant, nous sommes restés malgré tout un espoir puissant et insatiable de nous réaliser dans ce que nous avons de précieux, de fier... dans les expressions et les exigences les plus riches de notre art de vivre. Et à ce titre, il faut bien que nous montrions qu´être africain, qu´être de ce continent unique et exceptionnel par son art, sa culture et sa philosophie existentielle, que cela était un don inégalable de l´existence humaine et que ses peuples savaient dépasser leurs conflits intérieurs, aller au delà de leurs erreurs et leurs égarement pour servir une prière humaine dont la beauté et la grandeur dépasse de loin le sort que lui réserva le passé. Cela, c´est être africain. De corps et d´âme, sans complexe, sans ressentiment, mais aussi, et cela sans le moindre doute quelconque sur le droit que nous avons au bien-être et à nous accomplir le plus pleinement que possible sous le beau soleil de notre propre continent. Comme nous avons le devoir de protéger les rêves et les attentes de nos enfants dans un avenir sûr et pacifique. <br /> <br /> Musengeshi Katata<br /> "Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu"<br /> FR
S
Nous le savons : la vérité fait mal ; mais sans vérité il est impossible de se motiver réellement.<br /> Nous tous nous souffrons de la stagnation actuelle en Afrique, une crise dont les racines sont profondes et complexes. Et cependant, sans approcher le problème le plus ouvertement et le plus sincèrement que possible, nous ne ferons que ce qu´on attendait de nous : nous gêner, nous cacher de nos propres défauts, de nos propres erreurs…et tomber dans le piège ouvert de la fuite face à la réalité en cherchant refuge là où justement nous cessions d´exister en refusant d´assumer nos responsabilités. L´importation et la dépendance économique étrangère actuelle de notre continent n´est rien d´autre que cela, ainsi que le prêt à porter intellectuel, le prêt à consommer ou à utiliser…ce qui n´aboutit qu´à une corruption mentale laquelle nous éloigne chaque jour de notre identité créative et de l´épanouissement de nos cultures.<br /> <br /> Si nous exigeons du monde qu´il nous respecte et qu´il reconnaisse nos droits et nos libertés, pourquoi nous est-il difficile d´offrir ces mêmes droits et libertés aux nôtres ? Il faut bien se le demander…Aurions-nous le toupet d´exiger des autres ce que nous nous refusions nous-mêmes ou à ceux qui nous sont chers ? Là est la question et elle est fondamentale pour des cultures comme les nôtres où l´amour n´a jamais été ni une honte, ni un pêché, bien au contraire. Mais cet amour des nôtres, de notre culture et de nous-mêmes est aujourd´hui en danger parce qu´il s´aveugle par des futilités et se refuse à exercer ses devoirs initiaux qui sont de protéger, promouvoir et épanouir ce qui a toujours fait de nous ce que nous sommes : une race fière et intègre. <br /> <br /> Et je pense qu´il serait temps que nous y réfléchissions et que nous revenions à nos valeurs les plus chères : celles qui protègent nos droits et nos libertés activement dans ce monde contemporain dont nous savons qu´il peut être bien vil et méchant, mais dans lequel néanmoins nous devons arriver à nous faire respecter ainsi qu´à fleurir le meilleur de nous-mêmes. A n´importe quel prix. Car cela, c´est notre droit légitime. Et c´est donc qu´il est inutile de nous cacher de la vérité car elle fait partie de notre force et de notre prochaine guérison. <br /> <br /> Shaka Bantou, j´ai dit !<br /> Forum Réalisance
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