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12 février 2007

Pour un avenir partagé, équitable, valable pour tous.

En réponse à l´excellent commentaire de Illel Kieser 'l Baz sur réalisance sur l´article : Le noir est une couleur de noblesse. http://realisance.afrikblog.com/archives/2006/09/27/2778075.html 

Pas seulement un simple changement, mais aussi l´apport d´un idéal supérieur nouveau ; est-ce possible, ou ceux qui en rêvaient divaguaient les yeux ouverts ?

« L´art d´aimer l´existence dans toute sa profonde et fragile beauté ; c´est aussi l´art de tuer les dieux trompeurs et illusionnant. Et de faire renaître en leur place d´un amour dont la grandeur réelle, imaginaire et la splendeur pratique sont plus louables et nourrissantes que la simple et affable poursuite de perfection » Musengeshi Katata

Cher Illel Kieser 'l Baz, je vous avoue que j´ai été agréablement surpris par vos  propos ; c´est la première fois sur ma page que quelqu´un vient en peu de mots expliquer le but de cette page, et surtout, rejoint à tout égard la stratégie que nous considérons comme étant la meilleure pour sortir non seulement l´Afrique, mais aussi la contestation fondamentale périphérique envers, ne mâchons pas les mots, l´impérialisme occidental et son totalitarisme économique, militaire, géopolitique.

Maintenant, celui qui pense qu´il s´agit d´abattre cette culture (et beaucoup de colériques et d´excédés s´y abandonnent par désespoir ou par simple égarement), se trompe car elle a, ne le cachons pas, ses bons côtés et bien sûr une somme incontestée de nos propres apports (volontaires ou forcés) en efforts, en prestations de toutes natures, et même en sympathies – ce qui révolte, cependant, c´est qu´au lieu que ces richesses soient employées à démocratiser et à garantir l´élargissement et la reconnaissance de la réalisation de tous et d´un chacun, elles servent plutôt à nourrir un moloch empirique, centraliste et exclusivement réservé aux prétentions des maîtres de la Norme. Il s´agit bien, par contre, de lui rendre le sens humain et universel nécessaire et souhaitable à l´édification d´une vraie liberté, d´un sens de justice et d´équité qui soit praticable et valable partout et pour tous. En vérité la seule voie à la démocratie, parce que, comme le grand Shakespeare le disait, si la forêt empêche souvent de voir l´arbre, elle cesse d´être forêt si elle méconnaît l´unité singulière de son tout. En démocratie, ne pas prendre en compte l´épanouissement et la réalisation individuelle (et je prends comme exemple ici le chômage occidental et les effets destructeurs et excluant de la francafrique), c´est tuer la démocratie par ses racines. Et même si l´impression générale satisfait au regard et à l´opinion surfaite, seul le sort respecté et reconnu d´un chacun reste la fierté et la mesure par laquelle tout système se juge et se qualifie.

J´ai aussi parlé du cheval de Troie, et cependant que l´invasion des révoltés – si on peut les appeler ainsi – se doit, à mon avis, de vaincre une épreuve de taille : celle d´apporter des valeurs, un système de références et de normes plus ambitieux, plus réalisant au sens éthique, moral et réel que celui qu´on leur avait fait subir ! Et c´est là que se trouve la dichotomie de cette prétention : comment diable, en ayant subi le mal, la cruauté et l´injustice comme norme culturelle tolérée, ces pauvres seraient-ils capables de transcender la médiocrité en reproduisant le bien ? En sont-ils capables ou ont-ils été rongés et abrutis par leurs blessures béantes et leurs âmes violentées ? C´est demander aux analphabètes, aux ignorants, aux pauvres en lambeaux et aux empêchés délirants de fermer les yeux, de se fonder sur la meilleure projection de leurs rêves pour abattre ou contraindre le monstre du sacré qui se trouvait devant eux, à adopter un idéal plus humain, plus réalisant pour tous. Terrible effort, car même si ces pauvres réussissent à structurer et défendre valablement leurs droits, il y aurait toujours à vaincre ou convaincre ceux qui, possédant les rênes et les moyens de réalisation, se refusent à accepter l´enrichissement promis de l´élargissement tout en se disant : un tien vaut mieux que deux tu l´auras. (Ne le voit-on pas aujourd´hui dans la crise de surproduction actuelle ; les riches ne financent ou n´encouragent que les projets qui les rendent encore plus puissant et influant !) Et ce principe est loin d´être uniquement le repaire des nantis ; c´est aussi un grand instinct naturel qui sévit aussi rageusement chez tous les arrivistes, les étriqués de vision, que chez les pauvres illusionnés.

En conclusion je dirai que le poids du changement repose, hélas, encore une fois chez les pauvres et l´armée des nouveaux arrivés affamés d´équitable opportunité de réalisation. Et il ne s´agit pas de déposséder vulgairement les riches et s´emparer de leurs biens, mais de réorienter et redéfinir la liberté et la réalisation comme étant des biens existentiels à la fois communs et individuels appartenant à tous. Et cela semble bien ironique ou sarcastique, parce que le moloch qui les opprimait et les étouffait leur avait aussi demandé, et cela des siècles durant, ces sacrifices sanglants, tout en les excluant. Qu´est-ce qui aurait donc changé, se demandera-t-on. Le système, naturellement ; la portée et le contenu du pouvoir dans toutes ses intentions et ses moyens d´exercice. Le mot est tombé : c´est le pouvoir qu´il faut changer et démocratiser, parce que celui-ci influe sur les idéaux et les objectifs et méthodes de structure et de réalisation sociale. Celui qui dit le contraire est un charlatan, un illusionniste borné. Mais comment arriver au pouvoir, si celui-ci est la veillée officielle jalouse d´une caste à laquelle le système et ses engrenages offraient tous les avantages et les privilèges pour asseoir sa prédominance et le défendre ? Celui qui veut répondre adéquatement à cette question a déjà compris pourquoi nous réclamons l´abattement de la francafrique. Parce que c´est le meilleur moyens de changer les choses, du moins, en Afrique. Le prochain pas serait, naturellement, d´exiger de l´occident qu´il reconnaisse nos droits et nos revendications vers un monde, une démocratisation des moyens de réalisation économiques, financières, politiques. Parce ce que c´est le seul vrai moyen de défendre et de respecter réellement toute culture humaine quelle qu´elle soit. Et d´ouvrir les portes à une véritable démocratie humaine, à la vraie liberté ; plutôt que de les clamer à pleine gorge pendant qu´on oeuvrait exactement et sciemment du contraire. Le comble, dans tout cela, c´est que les riches ou les nantis ne perdent pas, mais le pauvre non plus; et cela, c´est ce gain qu´il ne faut pas perdre de vue. Car envers et contre tout, il ne s´agit pas de revenchardise, mais de vraie liberté partagée et assumée pleinement. Equitablement et sans exclusion ni systématique, ni à priori. En sommes-nous capables ?

Musengeshi Katata.

Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu

munkodinkonko@aol.com

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Commentaires
M
Le respect, la liberté et la considération au prix de la Réussite.<br /> <br /> Par malon, jeudi 15 février 2007 à 16:48 :: Général :: #1756 :: rss<br /> <br /> Pourquoi les chinois colonisent l'afrique et non l'amérique du sud ? Pourquoi l'ignorant, le minable, le misérable NOIR du ghetto est peut considéré et malheureux, à qui la faute? ( serais-ce la Gestapo Noire? ) où ( Le principe diviser pour mieux réigner versus chine-toque )<br /> <br /> « Est-ce qu'une malédiction divine pèserait sur l'homme Noir, malédiction qui en ferait un subalterne éternel ? (Guston Kelvin)»<br /> <br /> Mille prestations de service rendu en Franco-Anglo-et maintenant Sinopholie vaut un nègre cultivé de notre époque ghettorisé, et l'oeil par notre orgueil c'est: notre langue donnée au chien. Au bout du compte, s'est se foutre le moignon du petit piaf BLANC dans la raie du cul d'un nègre qui devient un quiproquo.<br /> <br /> Monsieur, Nous sommes d'accord sur toute théorie et réflexion inculquée par De "piaf petit blanc" camenbert du marseille, mais sauf nos bêtises, étant donné que; c'est une conséquence de nos faits et gestes de nos Dictateurs, s'est également une leçon de ne plus recommencer à l'avenir.Etre souverain et marechal dans le vieux continent est donc une bêtise car elle participe à ameliorer l'existance du petit blanc et décentralise sur les lendemains la réflexion et la morale du peuple Africain du comment et du pourquoi de ne plus tomber dans le brouhaha des complots stratégiques occidentaux qui influencent le temps dont découle nos misérables vies, appauvrissent nos vies et nous divisent pour mieux réigner.<br /> <br /> Illustration:<br /> <br /> Si, l'homme noir oubli d'inserer sa doctrine fétishisme ancéstraux dans le ciboulot de ses enfants est un meurtrier, au même titre que le blanc qui a bâti son empire fachiste sur le dos du nègre, alors que l'ouvrier mamadou peut faire comme le paysan, aller labourer le cacao sans même savoir le compter.<br /> <br /> Maintenant, les chinois essaient de copier le modèle esclavagiste occidental mais d'une façon plus moderne et avec une vue à l'avenir (yeux de félins) moins équitable et beaucoup plus destructice car moins réfléchie.En effet, Hu jintao s'acharne à labourer consciencieusement et avec frénesie le pétrole de nos pays respective et la soif de corruption de nos dirigeants mécreants et non solidaires parce qu' il lui est aisé de construire sur du roc.<br /> <br /> En faite, ils n'essaient que de recalquer la colonisation économique occidentale, subie chez eux durant ses dernières années, sur le continent africain mais plus hégoistement et contrairement à la doctrine communiste basée sur le partage des richesses.<br /> <br /> Etant à la fois impuissant face à ce mode d'operation perverse et machiavelique de la race blanche envers le noir, médiatisé aujourd'hui, incurable à leurs propos indéniables de ce qui se dit dans nos ruelles en occident, je préfère m'étendre sur la base de la vérité globale, où nous avons laissé des plumes ( Naan lara, an saara, soki to lali, bako bouma biso toujours) Dixit malonga l'abbé.Cette vérité spychopathologique mental erronée de l'enfant noir qui lui concilie tous les faits et delits connus par tous les parents africains ainsi que de la tribune des tirants dites élites à bruxelle, à l'élysée (paris) afin de permettre la compréhension et l'éclairecissement la plus exacte possible de l'état morose de l'esprit africain.<br /> <br /> Au bout du compte, réflexion faite sur cette vérité, l'avenir influencé, boulversé de ce que l'enfant africain peut renvoyer au déploiement de toute la déhantologie face à la rue qui nous soumet à rude épreuve.Nos enfants noir ont un droit de DEFIT a rélèvé, d'obtempéré intellectuellement à l'encontre de la Socièté occidentaux, de Réussite même si y a un désaccord persistant entre les deux parties imbriquées.<br /> <br /> Nous nous devons, en tant que Homme noir de prendre en main la bonne décision pour la vie et le bien fondé de l'éducation de nos propres enfants africains au risque de les voir sombrer dans le vagabondage accompagné de leurs cousins de "l'oncle tom" en prenant exemple sur les petits asiatiques et indous qui eux, se font discrèts L'orientation et les directives inculquées à "l'école de la République française" dénigre totalement notre nature d'être,se foutent toujours de notre rôle parental africaine mais ne commettons pas cette irrésponsabilitée car la colère et l'insousciensse du cercle visieux panafricaine pour la guerre ethnique commis contre le pool (congo), l'oungada, le darfour... n'aide pas à la réflexion.<br /> <br /> Si, NOTRE rôle kewwana (enfant d'afrique), confident et médiateur de l'entande-logie africaine et du fait de la démagogie sar-ko-zyste n'a pas d'ascendant sur vous, mes camarades alors ne prêtez pas l'oreille à me dire cependant dans quelques temps à venir, le Noir kirikou au jour d'aujourd'hui métissé vont vous chier un rapport de force à destruction massive dans votre mentalités dictarisé ô combien en folie parce que vous jouez les femmes éffarouché, discriminer la diaspo et puisque l'entendement et la compréhension n'ont jamais d'égard au chiens.<br /> <br /> C'est parce que l'Homme noir, réquis une Identité, une Idée, une Morale d'agir qui lui est propre contrairement à leurs laïcité appliquée QUAND CA leurs HARANGES, par conséquent la seule différence de chaque individu africain, est opposé à la seule façon qu'un homme blanc pense et espère en la foi CAR L'HOMME noir N'EST PAS LE SERVANT DES BLANCS et que la foir aux esclaves est dictarisé à l'échelle mondial.<br /> <br /> Notre intérêt majeur, c'est la survie du peuple africain par l'union sociale, faudrais-t-il déjà que le nègre crée ses propres instruments de réalisation (res=chose) pour une meilleure préstation de service pour son peuple car chacun d'entre nous le sait doit s'allier d'amitier sur l'autre et l'autre en la foi, il en va de notre survie fratérnelle. Frère, soeur, si la base de lendement, et si la raison vous impose de dépiquementé votre peaux chrétiens, chrétins est pitié de votre état de santé, alors une une seule raison s'impose pour résoudre les mediocres médisances ya biso: "le choix,liberté individuelle".<br /> <br /> Je suis stupéfait de la manière dont nous autres nègres embellisons la réalité mise en berne, à la manière des ariens (race supérieure sous le 3ème reicht de hitler, blonds aux yeux bleus) où qui prétendons émouvoir la sympathie des occidentaux or, dans ce cas nous sommes vraiment le shélon manquant entre l'homme blanc et le singe, des macaques téléguidés en agissant à chaque instant comme des blattes francophones si vil-y-z'est...C'est de l'ignorance et du désintéressement de notre part qui nous punissent à chaque mise en garde de nos aieux dixit: (kizerbo), car à chaque propos ses conséquences et ses significations.<br /> <br /> En loccurance, je suis sûre d'une chose, l'ignorant, le misérable noir est peut considéré et malheureux par les occidentaux, à qui la faute? Et puis je crois en l'Homme Noir et à ses valeurs culturelles, oui!. En outre, le minable médecin toubabs pretendant soigner l'afrique d'une manière cupide, avide et avare, vorace, le bâtard tendancieux en cravate provenant du nord, épaulé par le mépris de nos nègres dirigéant, chanceux à ceux que la rue est accueillis le peuple Karcherisé dans ses moindre reçoins, nous intimides avec leurs matraques à chaque lieux de contrôle.<br /> <br /> Nous nous pouvons qu'êtres patient et sublimement malin, allié l'intélligence occidentale acquis, amorti par notre chute qui fait un sujet complexe, d'une manière genérale, la raison vient de ce que le coeur veut exprimer et la sagesse au pédigré de notre savoir inculqué et non pas des suppositions aléatoires d'autoctônes occidentales petits blancs qui nous perpétuent depuis 600 ans en un encrassement des neurones, et le fasse dans la boue qui leurs meurt l'envie d'amadouer l'altération de ma plume en vogue, mon vivant en vocation et ma protection transfuge au détriment de mes enfants.<br /> <br /> Quémander à un homme noir en plus misérables sachant ni lire, ni compter, à paris, femme touchant alloc familiale, où le Revenu Minimum d'Insertion, disposant de rien pour assujetir sa soif et sa faim, si ce n'est que lui émander d'immense éffort d'asservir les frasques des français, aller voté pour mieux vous enculer le reste des années. D'où l'important choix de notre responsabilité entant que parent africain de mobiliser les jeunes sur les législatives d'avril et mai 2007,car l'absurdité et l'abruti-activité de nos élites, filament d'un reseau perpétuel de nos cousins les ...ricains nous plus est plus contagieux comme la Sida.<br /> <br /> C'est un air de déjà vu colonialement Chiraquois, une course sans lendemains, une quête sans Jesus, et au supplice les milles misères nègres, en effet cette guerre utopique à pour seule armes vitae curriculum dependant du chemin qu'un noir ses fixé pour ses vieux jours.<br /> <br /> Le Respect, la libérté et la considération au prix de la simple réclamation,...non! Au prix de la réussite individuelle qui renvoie au crriculum vitae. Res=chose, oui! Monsieur, L'HOMME NOIR entendons tout vos dires d'un angle et vous vois-je d'une oreille, s'il prétende faire suer les immigrés, où la diaspora négri, avec vos termes méticuleux intélligiblement réflechie en ce cas, ma couche ordonnera ma longue queue d'aller vous bouter, mécréants insignifiants hors de mon france, en effet ce territoire jusqu'àlors français deviendras leurs tombe au fait de l'immigration, alors mes frères multipliez vous sous toutes sait forme. BLEU? BLANC? BEUR? BLACK? CHINOIS? INDOUS....mélongeons nous.<br /> <br /> Monsieur Musengeshi Katata , savez vous mon ami que:<br /> <br /> Le démenbrement d'un nègre de notre genre commence par sa honte, par sa pudeur infiltre ses pensées puant, infiniment intercalées dans leurs matrice conjoncturelle avant propos d'un cas!en tout effet de cause de notre honte, et de nos peines nègres immaculée se forge un caractère prédateur, s'en échappe un virus non-interruptus aliénée par mise en propre philanthrope malgré notre faim, on s'efface volontairement pour laisser cette place au câtins intéllectuelle de leurs espèce supposées defendre les intérêts du peuple karcherisé, et mériteré à tord ou a raison une maturité préhistorique galvanisant pour laquelle soit disant, ils se sentent détenteur afin de démenter l'immensité grotesque et le vide du désintéressement de l'ENFANT AFRICAIN qui fait honte à la fois à leurs classe et au médiocre détriment de leurs subconscience qu'il croix penser contrôlée.<br /> <br /> Songe creux, de part notre propre égocentrisme, nous nous engouffrons dans une impasse que nous croyons penser spiritualisée, hors le front avancé de leurs démagogie désagrège d'emblée notre effroyable comportement qui emplifit d'avantage notre propre perte.<br /> <br /> Ainsi donc puritains d'élites africaine, soyez prompts au purgatoire du grand PEUPLEHOMMES, assassin de nos frères.Que la maladie vous en porte en damnation, fumier! Pour combien de temps encore non écoulé, pensez-vous nous entuber, nous martyriser sans qu'on puise vous pendre en public devant des millions des immigrés.<br /> <br /> Espèces d'halbrans répréhensibles! Vous dictateurs, vous pensez pouvoir amener la solution pour désinfecter notre pu? Vous pensez pouvoir améliorer létat d'esprit en crise de nos femmes et de nos enfants situés dans vos bas quartier assassinées et massacré (voir le massacre du village Ikonongo)? Quelle solution apportez vous Monsieus les ASSASSINS, en chaque matin lorsqu'un con-de citoyens se léche les bâbines afin de saliver sa faim en tout état de cause?<br /> <br /> Comment n'est pas être peiné de la dérive du Continent Africain tout en étant l'ami personnel et le soutient fidèle des dictateurs (tel Omar Bongo, président de l'actuel Gabon, Nguesso Denis Sassou au congo, Kabila....) dont le reigne empêche l'émergence d'une classe dirigeante moderne? De la part des Occidentaux.<br /> <br /> La seule aisance que vous aillez, mes bon infâmes truant, c'est nous infliger l'infâme Syndrome Immino-Déficitaire Acquis en préferent valoriser votre etat mental de la bêtise pour égailler vos testicules, mais dans un autre état d'esprit, ne négliger pas vos semblable ethniques africaines qui vous considèrent comme étant l'ami et president de toujours car votre gloire est sans suite et l'expression , qui est la vie à titre gratuit est éphémère.<br /> <br /> Notre combat et non la leurs, pour l'insumission, la pauvrété, l'infâmine et surtout pour le respect de soi-même mérite toute l'intention des Africain situer dans le continent et même hors du continent: la diaspora car si on abondonne nous sommes Mort.<br /> <br /> malonga_styvell@hotmail.fr<br /> Trackbacks<br /> <br /> Aucun trackback.<br /> <br /> Pour faire un trackback sur ce billet : http://www.grioo.com/blogs/malon/tb.php?id=175
M
J´ai réfléchi quelque peu à cette histoire de cheval de Troie ; et plus je me place sous l´aspect des facteurs érodant et destructif de l´adversité d´une part, et de l´autre, de la précarité des moyens naturels de réalisation, et plus cette histoire me parait une simple mais trompeuse supputation intellectuelle. Pendant que les soldats du cheval de Troie attendraient patiemment leur entrée au combat, bien de choses peuvent se passer, car le temps, lui, ne s´arrête pas. Les ennemis non plus. Qu´est-ce qui nous dit que ces soldats sauront faire la différence, vaincre et nous rendre nos rêves perdus ? Peut-on rattraper des rêves perdus ou asséchés ? Si ce sont nos meilleurs, ne risquons-nous pas d´abandonner nos femmes et nos enfants sans défense, sans science et sans orientation face à l´ennemi qui, soyons sincères, est tout autant intérieur (ignorance, traditions désuètes et rétrogrades, manque d´organisation et d´orientation sociale) qu´extérieur ! Qui donc va apprendre à nos enfants la discipline, le goût et le respect de la précision ; qui élèvera et affermira leurs esprits à l´amour d´un idéal supérieur de la réalisation sensible ? Oui, qui ; si tous les vaillants soldats, les meilleurs stratèges se cachaient à l´ombre d´un cheval de bois pour une page de l´histoire à l´issue inconnue ? Voilà pourquoi je ne crois pas à cette histoire, de même qu´envers les nostalgiques amoureux du passé. L´historicité d´une nation, d´un peuple, est un absolu d´immédiateté continue ! Elle prévaut à la fois dans le court terme que dans le long. Le temps et les âges ne s´arrêtent ni ne reviennent en arrière, et mettre une sourdine quelconque à ses devoirs, à ses attentes, à ses désirs sous le prétexte qu´un jour nous vaincrons et que ce jour-là tous redeviendront jeunes, instruits, créatifs ou riches…n´est-ce pas mettre sa réalisation, sa créativité, son avenir au frigo d´une prison dont la cellule risquait un jour de ne pas s´ouvrir parce que…la guerre de Troie aurait été perdue en grande débandade ; quelle serait donc la crédibilité et le charisme des survivants ? Nulle. A quoi servirait-ils si à leur retour victorieux ils ne trouvaient, en lieu de peuple et de parents que morts et désolation ? Non, non, et encore une fois non. Restons réalistes, gardons les pieds dans la Réalisance car celle-ci nous recommande un réalisme vigilant, critique, créatif, ambitieux et combattant autant dans l´immédiateté que dans l´avenir. L´amour de soi, celui de ses propres désirs et petites joies saines, se dégustent au mieux chauds et entourés de siens satisfaits et heureux, et sans vils parents fourbes et faussement prétentieux. J´ai dit ! Shaka Bantou.
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