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30 janvier 2008

Réflexion sur la crise énergétique actuelle en Afrique du Sud

Coupures indésirables, rationnement, manque à gagner, tout y était : l´économie la plus développée de l´Afrique était à court d´électricité. N´est-ce pas incroyable et plutôt surprenant ?

Un exemple type de manque de vision en Afrique

" The future belongs to those who prepare for it today" Malcolm X

Lorsque l´Agence France Presse de Johannesburg a annoncé la nouvelle, j´ai cru tomber des nues ; était-ce vraiment possible que ce soit la vérité ? Hélas oui. Je suis donc allé sur tous ces sites qui se disent africains et qui ont saisi et informé de la nouvelle. Tout le monde en a parlé, comme toujours, mais personne ne s´est donné la peine de se demander : diable, comment expliquer cette impasse ; le ministère de l´économie sud africain, les instituts ou les agences d´énergie sud africaines, n´avaient-elle pas vu venir cette impasse pour la contrer ?

Apparemment non. Curieux. Que faisait donc le pouvoir sud africain s´il ne savait pas prévoir ce genre de pénuries et réagir au mieux pour éviter quelque collapse aussi grossier ?

On me reproche toujours à tort de critiquer les africains dans leurs conduites plutôt endormies que vigilantes de leurs affaires et de leurs intérêts. Et pourtant, en voici une preuve flagrante qui doit mettre tout le monde d´accord. Il s´agit tout de même de l´économie la plus puissante en Afrique !

En Afrique, sur un continent qui peut jouir de l´énergie solaire, de celle des courants marins, de celle des déchets domestiques produisant le gaz méthane convertible en énergie…si un tel pays  se trouve en panne d´énergie ; permettez mon étonnement : ce ne peut être qu une mauvaise blague. Ou alors tous ceux qui, pompeusement prétendaient exercer le pouvoir dans ce domaine important pour l´économie nationale, avaient tout simplement dormi debout. Sinon, comment expliquer cette impasse ?

Je sais qu´on m´en voudra encore une fois. Cependant que la vérité, ce n´est pas moi qui l´aie ni créée, ni détériorée. Et on peut dire ce qu´on veut, on peut tourner en rond et se faire des compliments ou fermer les yeux sur ses propres criantes erreurs comme on a l´habitude de le faire…cette crise énergétique sud africaine est tout simplement scandaleuse. Elle prouve par là même que les dinosaures africains n´avaient pas disparu, pire : ils se reproduisaient et se répercutaient autant dans l´administration que dans la population africaine en y propageant leurs douteuses lourdeurs d´esprit : le manque de prévision et de vision.

On se croirait, devant ces attardés de la prévision, à des gens qui voulaient à tout prix aller au paradis sans monture et sans provision. Tout se ferait-il seul ? On verra, on verra…Demain, nous aurons le temps d´y penser.´y penser.us aurons le temps drage.es mondiales e les voir se ddevrait apprendre Les blancs, eux s´étaient sournoisement retirés dans le placement en occident des fortunes immenses retirées du sol Sud africain : ils achetaient Gucci et autres à la pelle, mais se refusaient à investir dans l´économie sud africaine. Pourquoi ce mépris s´ils en possédaient les finances ? C´est pourtant aussi leur économie ! A ce qu´il semble non. Les noirs on voulu le pouvoir ? Qu´ils se débrouillent donc les mains vides. Cela va faire plaisir de les voir se débattre.

Cette histoire prouve que j´avais bien raison de dire que la grande escroquerie sud africaine consistait, pour les américains qui la conçurent et l´imposèrent aux sud africains noirs en l´échange de la libération de Mandela, à laisser aux noirs un pouvoir politique vide qui manquerait des moyens d´une véritable pacification de ce pays. L´Afrique du Sud croulait sous un chômage scandaleux de 40%. Et pendant ce temps, les plus grandes fortunes sud africaines s´achetaient des placements financiers en occident ou spéculaient joyeusement sur les bourses mondiales !

Et à mon avis, au lieu de vouloir jouer le médiateur au Kenya, au Congo et partout ailleurs en Afrique où les masses se révoltaient, Desmond Tutu devrait apprendre à bien regarder sa société et mieux la défendre contre le désespoir qui la guette cruellement. Un espoir dans tout cela ? Les mines d´or vont réduire leurs extractions, et qui sait, peut-être restera-t-il un peu d´or aux noirs quand ils se rendront compte qu´on leur volait leur dernière chemise sans leur rendre justice ou investir dans leur avenir.

Et surtout, que personne ne me dise que je suis méchant ; il suffit de voir combien les enfants sud africains souffrent de la malnutrition, de la pauvreté, du manque évident d´assistance publique pour se rendre compte de l´escroquerie criminelle dont ils étaient ouvertement l´objet. A moins que…comme toujours les africains prétendent que tout va bien ? Ouvrons les yeux que diable… ! L´homme noir ne peut pas être idiot ou gauche à ce point…A la fin, cela fait vraiment pleurer de rage.

Musengeshi Katata

Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu

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Commentaires
M
Salut Jin, <br /> C´est avec un réel plaisir que je te répond ; j´ai vu qu´à plusieurs reprises tu as beaucoup lu mes articles. <br /> Pour ce qui est de l´Afrique du Sud, je dois hélas dire que quand une économie se trouve devant une telle panne de ressource énergétique, on ne peut l´excuser. Par ailleurs, mon article avait pour but d´éveiller l´attention sur le devoir de diversification des sources énergétique en Afrique. Quid de l´énergie des vents, du soleil, des marées ? Ce sont des sources énergétiques propres, modernes et efficaces de nos jours. L´atome, c´est bien joli, mais si un jour un tremblement de terre survenait ?<br /> J´ai passé, comme dans mes habitudes, à analyser l´économie Sud Africaine et je dois dire que la situations des noirs est, comparé aux capacités et aux richesses de ce pays, incroyablement désastreuse. Il ne faut pas se fier aux apparences et aux beaux immeubles des villes pour juger adéquatement la situation ; il faut plutôt aller en plat pays. J´ai peur que tu ne te rends pas compte que les matières premières ne sont pas éternelles, et que les blancs qui y avaient fait fortune se devaient de soutenir et de participer á une bien meilleure politique sociale que ce n´est le cas aujourd´hui. Tu parles de croissance, comme le veut la tradition économique occidentale, mais si cette croissance, comme actuellement en occident ne venait pas, que ferait-on ?<br /> Sur ton projet, je t´en souhaite tous le succès possible. Mais je m´abaisse à te rappeler très humblement que quel que soit le capital qu´on investit quelque part, les conditions de ce milieu doivent être pris en considération. Cela veut dire que les gouvernements africains doivent faire un effort quasi monstrueux pour revaloriser leur capital humain afin que celui-ci soit à mesure de jouir et foisonner efficacement le capital qui sera investi dans leurs pays. Aujourd´hui même si tu montes une affaire en Afrique, si les revenus africains ne suivent pas pour acheter tes produits, ou si l´infrastructure ne suit pas pour te permettre de produire avec des techniciens ou des ouvriers valablement qualifiés…tu ira lentement à ton étranglement. <br /> Plus que l´argent ou le capital liquide financier, est la motivation et la qualification du potentiel humain en Afrique. Et cela veut autant dire instruction qu´émancipation rationnelle et mentale des traditions désuètes afin de marcher vers le progrès. C´est pourquoi j´avais mis le texte de l´éducation en ligne. Je ne fais rien au hasard, si tu m´as lu. N´oublions pas que le capital est fait par les être humains et pas l´inverse. <br /> Je te dirai encore bien de choses, mais je suis persuadé que tu m´as très bien compris, du moins, je l´espère. En t´embrassant très fort, je t´envoie mes vifs encouragements. <br /> <br /> Musengeshi Katata.<br /> Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu
J
Salut frere !<br /> <br /> <br /> En general j'adhere a 100% de tout ce que tu dis, mais je crois que sur cette article tu es alle un peu trop vite !<br /> <br /> <br /> <br /> Les Africains du Sud l'avaient prevu !<br /> <br /> <br /> Dans African Business Mai2006 p50+51 , il est raconte comment un des reacteur possede par l'Etat Sud Africain a du fermer suite a de nombreuses pannes.<br /> <br /> Ils ont travailler ensuite au redemarage de d'autres stations nucleaires + construire 2 nouveaux generateurs aux gaz, ceux-ci fournissant a eux 2 que 8000 MW. Mais l'Afrique du Sud pour son fonctionnenement a besoin de 30 000MW s'il veut soutenir sa croissance de 6% l'an.<br /> <br /> D'apres un autre article, ce reacteur nucleaire qui fonctionnait tres mal, avait ete construit par des Europeens durant l'ere de la suppremacie blanche et n'a jamais reellement bien fonctionne.<br /> <br /> Du coup l'Afrique du Sud n'a pas essaye de le remmettre en marche pour des questions de coup et de trop grande mauvaise qualite... A la place ils ont decide d'en reconstruire un autre, different, seulement les coups sont exorbitant et surtout la construction prend des annees !<br /> <br /> Donc en attendant, ils font avec les moyens du bord avec les generateurs aux gaz appele "open-cycle gas turbines", qui ont commence a fonctionner en 2007, et cumulent avec l'achat d'electricite chez les voisins...<br /> <br /> En gros, en attendant le nouveau reacteur, le cote ouest de Cape town vit a 60% de ces besoins, et en ajoutant a cela les besoins pour la croissance : ca pete !!<br /> <br /> <br /> Bon comme tu vois le probleme est connu depuis longtemps deja, ils l'avait prevu et travaille a trouver les financement (que je pense qu'ils ont deja trouve depuis 2006), ou probablement sont au niveau de la construction du nouveau reacteur !<br /> <br /> <br /> <br /> Je ne blame pas l'Afrique et meme ces dirigeants, je trouve que leur marge de manoeuvre sont incroyablement limites, raison pour laquelle tout se fait au ralentit . <br /> <br /> Mais nous nous sommes la, nous devons etre peut-etre 20 millions, si ce n'est plus, d'Africains dans le monde, si chacun d'entre nous mettons 5 euro, pound ou dollars par mois, tous les 6 mois ou meme une fois par an, comme nos meres ont eu l'habitude de faire depuis la nuit des temps en Afrique, on pourrait creer ces fonds dont l'Afrique a cruellemnt besoin pour emerger.<br /> <br /> C'est le but du projet que je me prepare a mettre en place ici en Angleterre.<br /> <br /> <br /> <br /> Notre peuple a besoin de nous plus que jamais.<br /> <br /> Notre DELIVRANCE EST LA !!<br /> <br /> <br /> Je t'embrasse frere
M
Le meurtre de la crique dans toute psychologie sociale crée toujours un ajournement du progrès. Et même dans l´individu qui accepte toujours sans critiquer, l´intelligence et la créativité individuelle se meurt. <br /> Le problème des africains, on peut le comprendre puisqu´ils ont toujours été qualifiés par les blancs d´animaux, d´incapables ou de sous être humains. Mais je pense qu´au lieu de se lamenter sur le passé, ils devraient plutôt prouver qu´ils étaient loin de cela. N´est-ce pas ? Après tout, et même si ils acceptent la Norme occidentale aujourd´hui encore dominante comme échelle rationnelle de valeurs, ils doivent aussi accepter que celle-ci s´exerce envers eux objectivement. C´est la moindre des choses après ce qu´ils s´étaient permis des siècles durant en Afrique et envers la race noire. Surtout si aujourd´hui ils remarquent combien ils vont de jour en jour être dépendant de nos matières premières, de nos marchés. <br /> Mais cela ne relève pas l´africain du devoir qu´il a prouver ce dont il était capable. Beaucoup d´africains aliénés se cachent joyeusement derrières les matières premières comme prétexte à l´incapacité ou comme source de revenus cachant leurs manquements à créer l´emploi et développer l´économie et le marché social des biens et des services. Or, l´économie, elle commence par là. Mais face au progrès, à l´histoire comme à la réalisation sensible moderne, il faut être franc et se décider : on ne peut pas avec une mentalité de primitif rétrograde prétendre aller au progrès. Ce progrès, il a ses impératifs et ses exigences. Si on veut aller au progrès, il faut accepter de les assumer pleinement sans tergiverser. Et la critique est un apanage incessible au progrès. Désolé, mais les noirs et surtout ceux qui criaient aveuglement : « gloire à nos ancêtres ! » devaient bien se demander, malgré tout ce que leurs ancêtres avaient fait pour les préserver de l´esclavage, par exemple ou de la colonisation. Et qu´en est-il de l´électricité, de la voiture, de l´avion, de l´agriculture organisée et mécanisée ? Voilà pourquoi il ne faut pas toujours crier tout haut sans au préalable entretenir un brin de sagesse critique. <br /> <br /> Musengeshi Katata<br /> Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu<br /> FR
S
Ce n´est pas seulement l´Afrique du Sud qui en souffre, qu´on ne se trompe pas ; c´est toute l´Afrique qui, sous le manque de prévision et de projection nécessaires à l´existence organisée de notre époque, manque intempestivement à ses devoirs. Comme tu l´as si bien dit : des dinosaures pesant et faussement parvenu. Moi ce Thabo Mbéki avec ses chemises colorées à cols blancs m´a toujours donné l´impression d´un grand parvenu, sinon d´un affranchi de seconde classe sans réel talent politique. <br /> Cette histoire va faire rire sous cape les blancs, c´est certain. Il n´y a que les africains pour fermer les yeux sur de telles bourdes en se trouvant, comme toujours, des excuses et des prétextes leur permettant de cuver à satiété leurs incapacités et leurs incompétences. En fait, c´est cela un des grands défaut des africains : ils veulent tous être reconnus maîtres de leurs propres avenirs et les égaux des blancs ; mais ils n´acceptent ni critique, ni les devoirs d´effort ouvrant sur le respect et la considération. Or, qu´ils le veuillent ou non, on nous juge toujours par rapport à ce qui existe déjà. Et ce n´est pas parce que l´africain a été des siècles durant brimé, étouffé et interdit à l´exercice souverain de sa libre détermination que pour cela il attend du monde, et même de ses propres populations qu´ils le jugent avec compassion. C´est faux tout cela. Tout le monde sait qui a inventé la voiture, l´avion, la télévision, le train…l´électricité, etc. Et les africains, comme tous les peuples du monde, veulent y accéder et en jouir. Et sans électricité…Oui, reconnaissons-le, cette histoire est une bourde sans excuse. Personnellement je n´y apporte aucune compréhension.<br /> Quand un imaginaire, comme celui de l´africain généralement, a été pendant longtemps emprisonné et interdit au processus du progrès, il a tendance, comme on le voit avec les dinosaures incapables au pouvoir en Afrique, à se fêter et à dormir sur les lauriers en parvenu. Il oublie, ce qui est important dans toute fonction de responsabilité existentielle que prévenir, prévoir est toujours mieux que guérir sans lendemain. Et l art de réfléchir, de faire des projections nécessaires à la prévision et la protection de l´avenir, cela ne s´apprend pas, mes amis. Ou on en a la capacité, ou on ne l´a pas. Et même, sans l´entretenir et la confronter avec des opérations imaginaires supérieures, elle s´étiole et meurt. On a alors ce qu´on voir en Afrique : des instruits sans imaginaire et sans réalisme averti. En fait ils sont toujours en retard de quelque chose, mais surtout d´eux-mêmes.<br /> La seule façon de changer les choses à long terme, c´est d´œuvrer sur l´éducation et sur les processus informatifs sociaux afin que l´imaginaire des sociétés africaines soient remis up to date. Ce qui leur permettraient d´être à la hauteur de leurs propres exigences existentielles. Les gens ne savent pas ce qu´ils doivent faire, comment ils doivent se comporter face…à l´énergie, par exemple ; ou comment ils doivent produire ou protéger leurs intérêts et leurs acquis. Il s´ensuit un cafouillage aveuglé et brouillon qui ne connaît ni discipline, ni ponctualité ou ordre. Ou alors on copiait ou on empruntait bravement ce que le blanc lui s´était donné la peine de mettre sur pied en oubliant que cela correspondait à son sens de l´histoire et à ses intérêts. Les africains, eux, sans critiquer et innover, allaient tout simplement à la catastrophe parce qu´à force de chanter une mélodie dont on ne connaissait que les refrains, on ne pouvait pas devenir soliste à l´opéra. <br /> Je me rappelle que certains collègues blogueurs te reprochaient de réfléchir sur les informations et de les interpréter dans leurs significations et leurs contenus. Encore là une énorme preuve de castration imaginaire qui prouve qu´ils n´étaient plus capables de voir les choses au-delà de leurs présentations initiales, or ces informations, nous le savons bien, sont conçus et emballés dans des buts très précis : aiguiller l´opinion publique dans un sens précis. Celui qui sait le comprendre sort du commun. Les autres, eh bien, ils se font informer par l´information. <br /> Sur le net, il y a, à mon avis, beaucoup de vieilles casseroles, de chambres à répétition ennuyeuses, du cancan sans esprit, bref, des africains qui jouaient plus à l´électronique et à la pagination qu´à réfléchir et faire des projections sur leur avenir. Or, ce dont nous avons tous besoin en ce moment, ce sont des idées et elles ne tombent pas gratuitement du ciel. En serait-on incapable ?<br /> Maintenant celui qui croit que ce mal n´est visible qu´en Afrique se trompe ; il suffit de voir avec quel sournoiserie Jacques Chirac, après avoir promis aux français qu´il veillerait toujours sur leurs intérêts, allait en Afrique pour essayer de nouveau d´endormir et de piller les africains. Pendant des siècles l´occident avait crû d´une part que les africains resteraient perpétuellement ses subordonnés et que l´industrialisation ouvrirait sur la toute puissance de l´abondance et de la domination culturelle. Aujourd´hui que fait donc le grand Chirac en Afrique, que diable ? Il laisse derrière lui l´Allemagne, la Chine, les Etats-Unis…et s´en va tout simplement en Afrique jouer les cœurs tendres… ?!? C´est vous dire que ce petit fils de banquier, comme toute l´Europe, ont déjà compris que nous avions la clé de leur avenir. Surpris ? Pas du tout, mes amis ; c´est la pure vérité. Maintenant, il n´y a que les africains qui dorment ou ne se rendent pas compte de ce qui se passe réellement pour ne pas l´avoir saisi. Mas ce sommeil, ce n´est pas nouveau…n´a-t-on pas dormi assez durant les 600 ans pendant lesquels l´occident viola et vola à satiété sur nos terres en nous enlevant 200 millions des nôtres, en bazardant notre culture et nos symboles sociaux ? Il est grand temps à mon avis de se vouloir un autre avenir que celui que cache un Chirac sous sa peau de mouton. Et y mettre un peu plus d´amour, d´intelligence et d´imagination qu´hier. Etre noir n´est pas une raison pour entretenir la paresse ou l´idiotie intellectuelle, loin de là ; il faut au contraire prouver qu´on est à la hauteur d´ambitions illimitées et formidables.<br /> Shaka Bantou. J´ai dit et je vous remercie.
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