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6 juillet 2008

De la crise culturelle actuelle des africains

On peut se cacher de ses problèmes ou les endosser aux autres à tort ou à raison, ou encore croire au père Noël et se convaincre que ces problèmes n´existaient tout simplement pas. Ce n´est pas pour autant que ces problèmes disparaissaient. Tôt ou tard on sera obligé d´y penser et de les résoudre soi-même. Alors, pourquoi ne pas commencer à y penser dès aujourd´hui ?

Se libérer, résoudre ses contradictions, aller de l´avant

Des siècles ils ont été choyés de gauche à droite, utilisés, méprisés, rendus à la plus petite expression de reconnaissance humaine dans toutes les sociétés comme les Etats-Unis, la France, l´Angleterre, le Canada…où on leur a réservé l´enclave périphérique. En Afrique, neutralisés par une post-colonisation qui les avait enfermés encore plus étroitement dans l´exploitation et la servitude aux intérêts de l´empire occidental, tous se réveillent aujourd´hui en apprenant que l´occident á court de souffle se retirait et qu´ils devait tirer leurs plans… ! Et beaucoup de se demander ce qu il fallait faire, et surtout comment, sans accumulations sociales et moyens financiers, on pouvait sortir de la situation.

Toutes les couches de la population sont touchées. Les intellectuels parce qu´il n´avaient, pour la plupart, fait que suivre et caboter autour du centralisme symbolique que l´occident dominant avait tissé autour d´eux pour exercer son absolutisme. Et même au moment où de brillants intellectuels africains tels que Bwemba Bong, Cheik Anta Diop, Omotunde, Doumbi Fakoly…etc en appelaient à une prise de conscience motivée et un effort à retrouver et revaloriser l´identité socioculturelle et intellectuelle indépendante de l´homme noir; beaucoup ne savaient plus ce qu´il fallait faire pour déterrer cet africain inconnu qui était en eux. Et surtout comment pouvait-on faire en sorte que ce revenant du passé puisse être à la hauteur des devoirs et des obligations lui échéant dans un monde qui lui a toujours été hostile en l´empêchant systématiquement de s´épanouir. Et à propos de domination : comment donner à ce renouveau africain les moyens et les instruments lui permettant d´assurer sa sécurité et défendre valablement ses intérêts dans le monde d´aujourd´hui contrairement à hier où ses faiblesses et sa naïveté lui valurent bien d´injustices et d´abus de la part de cultures et de communautés religieuses techniquement plus avancées ou mieux armés que lui ?

Telle est le visage mental de la crise d´identité aujourd´hui de la race noire. Selon leur situation géographique éloignée ou rapprochée du centre dominant occidental, et selon leurs fonctions et formations intellectuelles, les acteurs accablés par cette problématique réagissent différemment. C´est certain. Certains croient même que l´occident leur doit des réparations…croire à cela n´et rien d´autre que perdre son temps en s´accrochant à un droit qui, même s´il existait moralement, est difficile à imposer. D´autres croyaient, en désespoir de cause, et vu l´immense travail qu´il y avait à faire en Afrique ou dans des pays tels qu´Haïti, Guadeloupe, Republique Dominicaine…etc, que seul l´immigration au Canada, en Europe ou aux Etats-Unis leur offriraient de réelles chances d´un meilleur avenir. Possible. Mais ces pays se gardaient bien de l´invasion des étrangers. Par ailleurs, avec la crise économique qui battait son plein et prenait tous les aspects d´une douloureuse rampante récession en occident, ces pays industrialisés lâchaient le ballast et réformaient leurs systèmes sociaux mis à mal par leurs dettes publiques d´une part, et de l´autre leurs modestes croissances économiques ne leur permettant pas de résorber rapidement leurs chômages respectifs, ils se gardent venus apportant de nouveaux problèmes sociaux. Les étrangers, même s´ils arrivaient à trouver leurs places dans ces sociétés, seront rejetés à sa périphérie. A moins qu´ils ne soient d´une formation supérieure…et encore.

On peut dénombrer ainsi, de l´un à l´autre, comment ou qui se comporte comme ceci ou comme cela. La grande part des peuples noirs, et ceci quelle que soit leur fortune ou leur formation intellectuelle, seront tenus de se frayer une nouvelle voie de réalisation socioculturelle ouvrant à leurs enfants de meilleures conditions de vie. Et ils se rendront compte, surtout s´ils sont sincères, diligents et ambitieux envers eux-mêmes et leur avenir qu´il n´y a d´autre chemin que celui qui passe par une nouvelle décolonisation mentale, le rejet et le combat contre la gangrène de la corruption financière et économique autant dans les rapports sociaux que dans les agissements et exercices du pouvoir public, la lutte contre l´ignorance et les traditions désuètes et primitives…etc. Ainsi qu´une lutte ferme contre l´inféodation économique et politique exercée ou employée par les métropoles occidentales sur leurs anciennes colonies afin de les exploiter ou les lier à leurs intérêts étroits. Au fait, un catalogue de tout ce qui aurait dû être fait ou entrepris le lendemain de la colonisation. Et, hélas, les grands charlatans et les incurables illusionnistes abondaient dans le monde noir où l´information critique la connaissance et l´instruction étaient encore chancelantes. Par ailleurs, les élites corrompues et incapables ont tenu à garder leurs sociétés dans un maigre état de critique sociale afin qu´ils ne soient contredits par leurs propres citoyens. Vouloir changer les choses au mieux, c´est aussi briser ce cartel du pouvoir improductif, aliéné et nocif au développement et au progrès des siens.

Mais tout cela ne peut ouvrir sur de meilleurs résultats que si l´intelligentsia du pouvoir autant que celle des universités et organisations d´opinion et d´études sociales acceptent et adhèrent au changement radical qu´un meilleur avenir impose. Notamment à aimer et entretenir la recherche idéale de la perfection, pas parce que celle-ci nous cache de notre nature fragile, complexée ou imparfaite, mais parce cette quête nous offre les moyens de découvrir et d´utiliser nos meilleures possibilités ; ce qui nous permettrait, bien entendu de jouir d´une réalisation sensible généreuse et riche. Et cela non en se demandant comment tricher et gagner plus, mais comment gagner plus tout en progressant et en se libérant de la dépendance et de la pauvreté.

Musengeshi Katata

"Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu"

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Commentaires
M
Cela explique toute la banqueroute structurelle des cultures de la race noire et pourquoi tant et tant de brillantes civilisations ont disparu sans trace en Afrique sans que les descendants n´en aient hérité des qualités pourtant indéniables. Ce défaut auquel l´écriture et l´éducation rationnelle aurait pu remédier n´a jamais été pris au sérieux et combattu par les aspirants aux premiers exercices du pouvoir après l´indépendance. Aujourd´hui encore l´africain ne lit pas assez, du moins sa soif de connaissance ainsi que son goût à l´échange intellectuel critique est des plus lapidaire. Les historiens, avec leurs retours aux sources, sont venus, malgré eux, ouvrir une nouvelle cache à l´analphabète et au pseudo instruit gangrené par le fétichisme et le traditionalisme désuet dont a toujours souffert l´Afrique face au monde technique et scientifique de la civilisation occidentale. La foi et la religion font le reste en Afrique actuellement en abrutissant et paralysant les masses dans des groupes de prière faussement passionnée pour cacher le désarroi, l´incapacité et l´irrationalité de sociétés doutant d´elles-mêmes. Quoi d´étonnant si elles acclament les analphabètes et les ignorants et se choisit comme élites politiques représentatives les moins doués de ses enfants pour défendre ses intérêts. <br /> Au fait, ce qui manque, c´est aussi et principalement la lucidité avec laquelle la raison sociale moyenne reconnaît et juge ceux qui sont capables de mieux gérer les intérêts de la société. On comprend aussi qu´aussitôt au pouvoir, les politiciens s´y accrochent et font tout pour y demeurer éternellement. C´est l´expression même du manque de confiance et de maturité intellectuelle. Le dictateur ou l´éternel président réélu aveuglement dans l´intimidation, comme le commun du peuple, assassine la liberté, la démocratie et l´indépendance de son peuple en un culte absolu qui renie toute la logique sociale pour laquelle il a été élu. <br /> <br /> Musengeshi Katata<br /> FR
S
Le maquillage est né en Afrique, mais ce sont les étrangers qui vendent à nos femmes et nos filles les produits de maquillage ! L´Oréal s´est installée au Sénégal pour y vendre les produits de beauté…pendant ce temps, nos femmes et nos filles se blanchissent la peau avec des produits occidentaux pour répondre à un idéal de négation de la race noire ; faut-il que nous acclamions ? Même si nous sommes tolérants, il saute aux yeux et à l´esprit averti que quelque chose ne tourne pas rond chez nous. Dans aucun domaine, nous qui avons un besoin urgent de résultats positifs pour juguler les marasmes de la pauvreté et ceux de l´ignorance ! <br /> Et lentement je poserai la question : quelqu´un peut-il me dire ce que vaut ou représente la vie chez l´africain ou dans toute la race noire ? Shaka Bantou, j´ai dit !
M
La culture occidentale s´est donné un mal fou à sortir la race noire de son retranchement primitif et attardé dans lequel elle avait trouvé cette race noire qui s´était privé de la connaissance, de l´écriture, alors que celle-ci avait été découverte chez elle. Mais aujourd´hui, en lieu et place de se doter d´un imaginaire lui permettant de mettre fin à ses carences, elle se met à tourner en rond et à reproduire des symboles et des structures déracinées et illogiques contrariant son libre épanouissement plutôt qu´ils ne lui offrait un lit de réalisation épanouissant et riche. <br /> C´est indéniablement la capacité de se projeter dans un meilleur avenir qui est en cause dans la race noire. Parce qu´elle n´arrive pas à engendrer et libérer de sa créativité le meilleur d´elle-même. Comment en serait-il autrement si les efforts et les structures de formation, de foisonnement et de spéculation cognitifs ne sont pas imposés dans la société ? L´imaginaire, c´est une fleur fragile et exigeante nécessitant un soin intransigeant et assidu. Il faut s´instruire, lire, aiguiser et confondre l´esprit à ses extrêmes les plus affûtés. Afin que sa fière moisson soit à la hauteur d´exigences les plus retors. Or l´Afrique était le continent où l´instruction était délaissée ou de faible qualité, les livres rares, les journaux sous informés. Par ailleurs, africains sont connus pour ne pas lire du tout, ou trop peu. Il est vrai que les meilleurs livres scientifiques, didactiques ou même critiques ou distrayants ne sont pas produits en Afrique. Alors, comment diable veut-on entretenir ou engendrer un imaginaire florissant et créatif ? Avec la prière ou avec l´ignorance ? <br /> Ce qui me révolte, et je ne le dirai jamais assez : c´est exactement ce manquement d´infrastructures fondamentales au moindre des ambitions du développement. Et à mon sens, tous les pays africains qui ne prenaient pas cette problématique au sérieux trompaient tous leur monde en prétendant aspirer au développement. Il suffit de voir actuellement comment, face à la crise économique, tous les pays occidentaux s´empressaient de reconsidérer et de réformer leurs paramètres d´éducation, de formation et d´exigences intellectuelles dans tous les secteurs de la formation professionnelle dans leurs pays respectifs. Ils savent bien qu´une crise de créativité industrielle est due à un imaginaire enrhumé, alourdi par le bien être ou en perte de réalisme sur les nécessités évidentes qu´imposent la vie dans le monde industrialisé. <br /> Tous ces mécanismes d´appréciation et de gestation de la norme sociale sont ignorés ou gratuitement exercés en Afrique et dans le monde noir par des gens qui, tout en aimant pathologiquement le pouvoir, ne sont pas capable de les exercer en y élevant des structures et des lignes d´action débouchant sur une architecture sociale fructueuse et capable de répondre valablement à tous les défis de sa meilleure réalisation. Ne pas se donner la peine de réfléchir à ces légitimes attentes sociales, c´est manquer au premier devoir envers la société, la culture, et l´avenir organisé et efficient de tout rêve tangible de liberté et de pleine réalisation sensible. <br /> <br /> Musengeshi Katata<br /> FR
S
Ce n´est pas étonnant que la culture occidentale s´est spécialisée à nous piller, à nous voler nos minerais, nos intellectuels, notre main d´œuvre…et même notre histoire (histoire égyptienne, par exemple ou l´origine des mathématiques – voir bâton d´Ishango découvert au RDCongo et datant de 22.000 ans avant notre ère, svp !) et les origines historiques de nos cultures en nous repoussant dans la nuit noire incapable et ignorante des temps. La vérité est que nous ne savons ni défendre nos legs culturels, ni les mettre en valeur afin que ces legs servent aux générations suivantesde nos enfants. Au lieu de cela, nous avons entamé une existence, une vie de fantôme de l´histoire copiant mal et médiocrement la culture dominante du maître. Cette basse et sale oraison funèbre de notre culture, de notre fierté et de notre créativité culturelle !<br /> Ma fille m´a fait remarquer dernièrement en faisant des recherches sur l´histoire de l´habillement humain que le « Tanga » aujourd´hui considéré à tort comme une invention brésilienne était issu de …l´Afrique ! Ou encore que la première application de l´énergie solaire a été utilisée dans les pyramides en Egypte il y a 5000 ans. On le voit : les africains ne sont ni bêtes, ni moins créatifs que les autres peuples de la terre. Seulement, seulement…ce sont toujours les autres qui profitent de la créativité des génies africains parce que ceux-ci ne se rendent pas compte qu´ils doivent donner impérieusement à leurs sociétés respectives des fondements économiques permettant le développement de ces inventions en société ainsi que l´entretien de la créativité de leurs enfants les plus doués. Un comportement qui ne conduit qu´au suicide culturel et à la pauvreté économique. <br /> Aujourd´hui, tout en se prostituant à l´étranger, et sans reconnaître que le fait de devoir quitter son pays pour l´étranger comme unique chance de réalisation est une cruelle contradiction à l amour qu´on de son pays ou de sa culture, les africains se mettent à s´accrocher maladivement au passé, à l´histoire égyptienne sans l´analyser et la mettre en critique. Il s´agit ici pour moi d´un comportement désespéré, psychopathologique de naufragé de l´histoire s´accrochant aux débris d´un navire sombrant sans savoir combien de temps cette épave restera encore à flot. Chez l´africain en ce moment on s´évertue au palliatif, on s´acharne sur le subsidiaire…on creuse et on fête le déviationnisme de la superficialité et du paraître en oubliant que le principal, c´était, envers et contre tout, sa culture qu´on néglige de nourrir et de défendre valablement face à des ennemis voraces et cannibales qui la vide chaque jour de son sang le plus précieux.<br /> En fait, le plus grand défaut de la race noire, c´est son économisme bancal et étroit envers ses cultures et ses sociétés. Or l´économie, son organisation efficace et son étalement sur toute la société, est le premier devoir d´un état, d´une culture positive. Ainsi, naturellement que la promotion des échanges commerciaux, intellectuels ou critiques au sein des sociétés. <br /> Quand on voit les manquements qui subsistent en Afrique actuellement et qu´on remarque que pour les occidentaux il ne s´agissait que de pousser les africains à adopter des institutions de circonstance leur donnant des apparences trompeuses…parce que vides ; on se demande si celui qui se laisse abuser ainsi n´est pas un idiot et un ignorant culturel qui n´a aucune notion ou idée de son avenir ou de sa réalisation autant sociale qu´individuelle. Un désastre ! Les résultats, on les voit chaque jour en Afrique…Cessons de tourner en rond comme des toupies sans volonté et sans sens de l´histoire, notre culture exige de nous des actes et des comportement plus liés à son sort. Shaka Bantou, j´ai dit !
M
Pratiquer et préférer, contre toutes les lois de la nature, contre tout sens dynamique de l´histoire humaine, d´entretenir le borné, la facilité et l´art de détester la quête irrésistible à perfection…cela ne produit que le désastre ! Pire encore si on a commis des erreurs des siècles durant…cela devait criminel lorsqu´on prétendait qu´on était des génies, qu´on était gouvernés par des Dieux, ou qu´avec emphase on s´écriait : Gloire à nos ancêtres ! On pouvait se demandait: ceux qui avaient, qui s´étaient donnés la peine de fabriquer la voiture, l´avion, d´aller sur la lune, de développer les sciences de la médecine, de la chimie, de la biologie…dont nous profitons tous aujourd´hui ; si ces gens n´étaient pas les vrais Dieux que nous devions logiquement aduler !<br /> <br /> On comprend d´autant mieux le silence que quelques africains charlatans adoptent : ils ont menti trop longtemps et ne savent plus aujourd´hui ce qu´ils doivent insinuer pour tromper et abrutir à nouveau les leurs comme par le passé. Les jeunes africains instruits et cultivés ne se laissent plus abuser ; ils savent qui a inventé l´électricité, celui qui s´est donné la peine de vouloir vivre mieux, et celui qui, tout en ne créant rien du tout et en vivant des inventions des autres, prétendait…être un génie ! Cette illumination, n´est-ce pas ? Le propre de l´ignorant borné faussement prétentieux et fou furieux.<br /> <br /> J´ai vu partout en Afrique tous ces beaux enfants aux grands yeux doux qui étaient nés comme des gouttes de pluie arrosant tout un continent pendant l´orage de la saison des pluies…et savoir que ces pauvres êtres frêles et innocents qui n´attendaient qu´à éclore et se réaliser au mieux que possible au sein de leur société ; que ces pauvres étaient déjà condamnés à la pauvreté, à l´immigration étrangère s´il voulaient changer les chose. Leurs incapables et bornés aînés et parents prétendaient cependant…être des génies ! Pas étonnant qu´excédés ils entretiennent des voyages suicides dont les cadavres étaient si souvent rejetés sur les plages africaines. Parti sans laisser d´adresse. Ou quand le désespoir…<br /> <br /> Il est temps de cesser de mentir, de se camoufler devant l´histoire ou sa propre existence en jouant des rôles bouffons, parce qu´on ne s´enfonce que d´autant plus profondément dans la médiocrité et l´irréalisme. Ce qui repousse toute guérison de nos maux réels et toute quête raisonnable à la perfection. On s´enferme soi-même dans un cercle vicieux insoluble lequel condamne des générations et des générations innocentes à souffrir l´enfer de la misère et de la pauvreté. N´est-ce pas curieux que toute une race, tout un continent rejette toujours les meilleures solutions, les meilleures voies de réalisation ; qu´il vive contre tout réalisme et ambition pour ses propres enfants pour adopter la médiocrité ou l´absolutisme de l´ignorance comme principe social de réalisation ? Combien de temps fera-t-on avaler aux enfants cette honteuse grossièreté ou attendre que les autres viennent résoudre nos problèmes, soigner nos complexes ou nous faire l´avenir ? Les jeunes d´aujourd´hui ne sont pas tous aveugles, Dieu merci. Nous non plus.<br /> <br /> Musengeshi Katata<br /> FR
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