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23 août 2010

A l´exemple de la "symbiose industrielle" de Kalundborg ; l´Afrique peut-elle s´industrialiser écologiquemen

Commentaire sur Facebook à propos de http://en.symbiosis.dk/industrial-symbiosis.aspx

 

Pas seulement une question de volonté, mais aussi de savoir-faire…et de moyens

 

Vous serez tous surpris: tous les inconvénients écologiques actuels sont hérités d´un courant industriel plus ignorant de ses effets secondaires que réellement conscient et respectueux de la valeur de l´écologie pour le monde entier. Le problème, tout le monde l´a soulevé, c´est l´emprisonnement mental et financier dans des formes d´investissements et de consommation de produits polluants ou destructeurs de l´écologie, L´Afrique, bien sûr, a une chance inouïe d´éviter cela parce qu´elle est au début de son industrialisation et de son orientation énergétique, technique et industrielle...mais, et ce mais est évident, il faut plus d´intelligence technique, plus de critique et d´éloignement de la faisabilité technique et énergétique occidentale.

Et là commencent en réalité les problèmes des africains car leurs universités ne sont que peu innovatrices et librement créatives ou interrogatrice de ce que peut être les solutions idéales. On copie plutôt qu´on ne réfléchit et qu´on critique en Afrique...peut-être suis-je bien dur á ce propos, mais vivant en Allemagne où l´écologie a une très grande influence sociale et pionnière dans le monde entier, on voit combien les lobbies traditionnels combattent les solutions plus écologiques. Par ailleurs, comme le disait le professeur Modjib Latif, avec cette crise et la spéculation qui l´a envenimée, les sociétés de capitaux investissent ailleurs que dans de nouveaux principes de production plus écologique. A moins, bien sûr d´y être poussés...ou généreusement subventionnés. a ce prix l´écologie devient un chantage plutôt qu´une nécessité.

Il y a des solutions absolument géniales et simples dans l´industrialisation de demain, c´est sûr, seulement, nos savants et ingénieurs africains sont-ils assez libres d´esprit pour les voir et les adopter ? Ne sont-ils pas tous formés en occident ? Autre chose qui montre combien le dilemme est grand: quand on s´est enrichi avec des méthodes primitives, on a souvent tendance à reproduire ces erreurs fondamentales plutôt qu´à les critiquer et les changer. On le voit avec les sociétés de production d´électricité par énergie atomique en Allemagne: avec cette crise et contre tout consensus social ultérieur de débarquer de l´énergie atomique, ces sociétés ont imposé la reconduction des durées d´exploitation des usines atomiques...pour ne pas avoir à faire de nouveaux investissements dans le vent, les marées, la géothermie...etc. On ne veut pas risquer de fixer le capital dans cette crise, peut-être pour mieux spéculer en Asie ?

Une chose est certaine: il faut plus d´intelligence pour être simple et efficace qu´il n´en faut pour faire comme les autres l´ont fait. L´Africain qui a gardé son originalité et sa liberté intellectuelle d´esprit aura plus facile à penser écologie et agir ainsi. Mais malgré tout il devra penser plus complexe et plus large dans le temps et l´espace. Mais le pourra-t-il réellement ? C´est à espérer d´autant que l´énergie solaire, celle des eaux, des déchets biologiques...etc peuvent être employées efficacement. Quant aux autos et autres, Sandrine Mubenga Ngalula a montré que c´était possible. En fait si nous le voulons, nous le pourrons; mais que fait-on des autres, ceux qui polluent malgré tout avec de vieux systèmes de production l´écologie mondiale et nous mettent malgré tout en danger ? Bonne question, n´est-ce pas ? Pendant que nous serions occupés à épurer l´air et respecter la nature, si les autres s´en foutent, que fait-on ? On l´a vu lors de la conférence de Stockholm...les pays industrialisés s´en foutent des pays pauvres; pour eux leurs cheminées polluantes sont plus importantes que la santé des pauvres. Eh oui, on en voit les effets d´inondation au Pakistan, en Chine...après cela coûte des sommes folles pour réparer les dégâts et bien de vie humaines qu´on aurait pu éviter. Cela n´empêche, bien sûr que les gens construisent des canalisations et soient plus regardant des règles élémentaires de l´urbanisme !

Musengeshi Katata

« Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu »

 

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Commentaires
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Faire des supputations, tout le monde sait le faire...pour cela notre monde est pavé de bonnes intentions, mais lorsqu´il s´agit de réaliser effectivement un projet, seuls les moyens comptent. On serait alors surpris de se rendre compte qu´en Afrique on se privait soi-même de la poudre économique pour mieux entreprendre son avenir. Eh oui, quand l´économie fait défaut...<br /> <br /> Je ne dirai pas que c´est un luxe de la diaspora de se monter á l´esprit des idées...avangardistes ou de réfléchir sur la question, mais si elle était sur le continent, face à la guerre quotidienne de survie et face aux désagréments de la pauvreté, aurait-elle encore le temps pour jouer à l´esprit ? Rien à faire, il faut en Afrique des conditions de vie nous permettant, en nous libérant de l´atroce angoisse de la faim et du manque, de faire ce genre de projet et de les soutenir financièrement. Sinon, on se bat et on meurt la langue sur la rue...sans les moyens de changer quoi que ce soit à sa misérabilité. Dans la pauvreté ces actuelles discussions sont plutôt...prématurées, à la rigueur ouvertement pédantes parce qu´elle donne l´impression qu´on veut comme Icare aller au soleil...peut-être faut-il d´abord apprendre à rester sur terre et à y exceller... <br /> <br /> Shaka Bantou, j´ai dit !<br /> Forum Réalisance
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