A propos de la révolution et de l´avenir de l´Afrique

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Seule l´émancipation culturelle, mentale et intellectuelle ouvrant sur l´industrialisation et la production d´une liberté effective et accomplie…est véritable révolution.

"Travaillez, prenez de la peine, c´est le fonds qui manque le moins" Le laboureur et ses enfants. Fable de Lafontaine

Cher Jean Pierre Kaya, apparemment vous vous méprenez sur ma personne; contrairement à vous je suis un technicien de l´économie et mes avis sont bien connus sur le Net, par ailleurs je ne fais pas de discours vides sans savoir de quoi je parle. Il est bien facile de parler au gens de révolution sans savoir comment on va la financer...Révolutionnaire ? A quoi le voit-on que diable ? Je suis, pour ma part, d´avis qu´il faut cesser de faire avaler aux africains de fausses illusions en leur faisant croire qu´il suffit seulement de faire des discours ou d´assister á des rassemblements populaires pour que les choses changent par elles-mêmes ! Je suis surpris qu´aujourd´hui au 21ième siècle où l´emploi et le revenu ainsi que l´accumulation sociale et la créativité industrielle dominent le monde, les africains se laissent encore berner par de tels discours ! La plupart des africains qui sont venus en Europe n´y sont pas venus pour écouter des discours mais pour s´instruire s´ils le pouvaient, chercher des solutions à leurs problèmes en Afrique afin de mieux vivre demain !

Je sais ce qui vous dérange: c´est notamment que je me refuse à m´associer à vos amis ou jouer le crieur sur la place publique pour vous tous. Désolé, je considère que ce que je fais sur l´Internet libre est assez suffisant. Je connais mieux les gens qui sont autour de moi que vous, dirai-je, parce que je sais que les africains ont beaucoup de lacunes intellectuelles et techniques, et au lieu de s´en défaire ils se cachent tous derrière des slogans ou des activismes politiques bon marché qui n´ont conduit l´Afrique, jusqu´aujourd´hui, qu´à la catastrophe des élites incapables et bornées se laissant corrompre à tour de bras et aidant à piller les leurs alors qu´ils devaient les défendre et les promouvoir. De quelle sorte d´hommes êtes-vous dans tout cela en prétendant être révolutionnaire sans avoir soutenu une seule révolution réussie au monde, je ne le sais pas. Ce que je sais c´est ce que moi je suis et je n´aime pas les gens superficiels ou ceux qui n´ont pas pris la peine, après leurs études, d´aller au fond de leurs problèmes. J´espère vivement que ce n´est pas votre cas.

Pour moi, l´Afrique sans créer l´emploi et le revenu, mieux rationaliser et organiser efficacement la société civile et la doter de mécanismes critiques et réfléchis d´autoréalisation et de défense effectives de ses intérêts et de son avenir...sans tout cela les africains continueront, même s´ils écoutent vos cris de révolution, à vivoter dans l´histoire et souffrir de la faim et de la pauvreté. Nous nous trouvons devant un puissant occident qui est coriace, mieux organisé et plus riche et instruit que nous. Et au lieu de faire appel à nos meilleures intelligences pour nous sortir de nos déboires actuels, au lieu de renverser la vapeur et produire efficacement pour mieux nous épanouir et lutter effectivement contre le sous développement, nous nous contenterions d´écouter des discours de rassemblement et de révolution ? Hem, mon ami, je vous croyais plus averti...sans investir dans la production, dans la connaissance et la formation professionnelle conséquente et assidue, sans promouvoir l´imaginaire africain, l´émanciper et le sortir de son étroitesse pour le rendre plus créatif et innovateur qu´il n´est aujourd´hui ; comment voulez-vous financer et réaliser le développement ? Avec des discours et des appels aux rassemblements populistes ? Hem, je suis d´un autre avis...je suis persuadé que rien ne vient tout seul, même pas à coup de grands discours révolutionnaires. Il faut s´instruire, aiguiser l´esprit, parfaire l´art de résoudre des problèmes complexes, élever son sens esthétique et se doter d´un imaginaire créatif et ambitieux. Mais surtout il faut travailler, s´émanciper, innover et produire l´avenir et le bien-être au lieu d´attendre qu´il tombe du ciel ou de le recevoir des autres en versions écourtées.

Ce qui pose, bien sûr le problème du financement social. Arrivé à ce point crucial le bon sens et l´intelligence séparent la graine de l´ivraie; quant à moi je n´aime pas les gens qui négligent le principal quitte à faire beaucoup de fumée sur le subsidiaire. Nous sommes apparemment, vous et moi, bien différents, ce qui explique que vous fassiez des promesses aux gens et les incitiez à une quelconque révolution, moi par contre je leur demande seulement d´aiguiser leurs intelligences respectives et offrir à l´Afrique le meilleur d´eux-mêmes s´ils veulent que l´avenir de ce continent change. Notez, s´ils n´y arrivent pas, ce ne sont pas des cris vides de révolution ou des rassemblements d´ignorants plus moutons que créatifs qui vont changer le sort de notre continent ou son avenir, il n´y a que le travail bien fait et la volonté assidue de modernisation qui peut le faire. Ceci est ma profonde conviction. Désole si je ne vous suis pas aveuglement vous et vos amis, mais je suis non seulement méfiant, je suis aussi trop averti et intelligent pour jouer les sous fifres pour qui que ce soit.

Musengeshi Katata

„Muntu wa Bantu, Bantu wa Muntu“

Forum Réalisance

Comments

[Musengeshi Kat]

...mais il faut un modèle social de normes de reférences de modernisme et d´excellence, un encadrement éducatif et professionnel procréant volontairement l´idéal qu´on veut atteindre. Ceci pose, bien entendu, le problème de la gestion et de l´idéal de l´ordre social...de l´échelle des valeurs et des principes entretenus et défendus par le pouvoir public et ses institutions au sein de la société.

On peut ainsi, avec un dynamisme social contrôlé par des mecanismes et des institutions adéquates, évoluer dans un sens positif et fructueux pour toute la société...mais croire qu´on peut, sans produire, en hibernant dans la paresse, l´ignorance ou le manque de réalisme et d´ambition pour soi-même, hériter du progrès et de ses multiples facilités, de la science et de la technique sans effort et sans s´y être valablement préparé ou même le vouloir expressément et sans embage...c´est se faire bien d´illusions.

Encore plus fallacieux est le mensonge selon lequel en marchant au pas on peut rattraper celui qui court. Ou encore qu´en se prostituant, en se laissant opprimer et exploiter vilement, conduire à la pauvreté, on peut, par simple prière ou quelque miracle déictique, même avec des illuminations idéologiques sortir de la pauvreté et devenir riche et industrialisé du jour au lendemain...On ne peut être plus idiot ou se suicider soi-même ainsi. Il faut bien se défendre, il faut bien se donner la peine de d´engranger l´espoir en produisant si on veut un jour prochain jouir de ses fruits et le léguer fièrement à ses enfants.

Musengeshi Katata
FR

[Shaka Bantou]

...c´est toute une histoire. Tu parles katata d´organisation sociale et de modernisation effective de la société ? Mais très peu de gens en Afrique savent ce que cela veut dire ! il suffit de voir les déchets s´amonceller dans les villes africaines pour le comprendre. Ou comment le chômage, l´agriculture et l´élevage mal entrepris n´arrivaient pas à satisfaire aux besoins abondant et complexe d´une architecture sociale devenant de jour en jour plus exigeante ...cependant que les solutions sociales, elles, restaient absentes. Quant à parler de l´emploi, du revenu et de leur valeur socioéconomique et culturelle pour toute société responsable...là encore on pataugeait et on tapait dans un vide traditionnel qui ne laisse place, si l´instruction n´avait pas émancipé son homme, à des attitudes abracadabrantes de la part de gens qui ne savent rien à rien parce que leur culture passée ne le leur a jamais ni appris, ni donné l´occasion d´entrevoir ou d´approfondir la question. Voilà. En vérité sans l´arrivée des occidentaux plus évolué...on aurait bêtement continué à cultiver sa médiocrité et son illumination intellectuelle et culturelle. c´est aussi une question de réalisme et de faisabilité; des enfants mal soignés, mal nourris, mal instruits ou vivant dans le piège cruel de la pauvreté, ce sont des enfants qui ont difficile à s´instruire et s´émanciper adéquatement...pour devenir demain ce que la société attent ou espère d´eux !

après la colonisation et jeté sans aucune préparation dans les lourdes exigences de l´indépendance et face aux crocodiles et prédateurs économiques de l´exploitation internationale...beucoup de gouvernements ne savent pas ce qu´ils doivent faire et choisissent de se laisser corrompre pour des intérêts qui savaient au moins de quoi ils parlaient en matière de progrès, de science, de technique, d´organisation sociale, de moyens de déplacement...La corruption, somme toute, est un aveu d´échec et de mépris de sa propre impuissance. On choisit de suivre les ex pays colonialistes industrialisés parce qu´on ne sait ni présenter rapidement des résultats appréciables et utiles à ses membres, ni résoudre brillamment les problèmes d´organisation sociale et de production pour permettre à ses membres de mieux vivre et mieux se réaliser au cours de leur vie.

On peut mettre fin à tout cela avec l´imaginaire et l´intelligence conceptuelle et pratique...si on arrivait à la développer, à s´émanciper de son ignorance, de sa tendance maladive à la bête croyance; si on lisait et on cultivait l´esprit et l´art de résoudre des problèmes logiques et complexes...Mais on connaît l´incroyable force des traditions qui se refusent à lâcher leur homme quand celui-ci est trop faible d´esprit ou incapable d´imaginaire rationnel. A la fin on jouait un jeu vide et inefficace: ni viande, ni poisson, on imitait grossièrement et plutôt médiocrement les autres...ou on faisait semblant de savoir ce qu´on fait ou de quoi on parle, alors qu´on n´était rien d´autre qu´un fantôme du passé qui se refusait à s´ouvrir l´avenir avec ses meilleures capacités et sa meilleure vocation créative.

Pire: on s´enfermait derrière la religion et la béate prière, comme avec les fondamentalistes musulmans qui, à la fin excédés et jaloux de ne pas être capables de maîtriser le progrès et d´exceller dans la science, ils en venaient à organiser à grande échelle d´assassiner les autres...ceux qui progressaient dans leur réussite. Fin parodie pour le cancre, l´idiot et l´incurable emprisonné dans sa négation. Pitié, mères, cessez donc de nous engendrer de telles monstruosités humaines...l´histoire humaine a besoin de talents, de bonne foi et d´espérance, pas de nullités réfractaires au bon sens et à la raison.

Shaka Bantou, j´ai dit !
Forum Réalisance

[Musengeshi Kat]

...et cessait de fuir leurs ombres en évoquant quid leurs traditions pour se refuser au progrès, quid en important aveuglement au lieu de produire, ou quid en prétendant faussement vouloir se développer...sans pour autant produire les efforts et les conditions rationnelles, scientifiques, techniques et créatives exigées pour y arriver ! Apparemment tout le monde voulait aller au Paradis mais personne ne voulait mourir; à ce compte-là on se trouvait toutes les raisons possibles pour vivre de la mendicité et de l´aide internationale, de se laisser piller à loisir en espérant ainsi que le progrès leur serait offert grantuitement en retour...Si tout cela n´était pas infantile et irresponsable !

Et cependant, le sens de l´histoire est tout autre...quiconque ne sait pas produire et réaliser sa liberté selon ses propres valeurs intellectuelles et culturelles et avec l´usage affirmé de son imaginaire, celui-là ne mérite pas qu´on lui reconnaisse des droits et des libertés qu´il n´est pas capable de défendre ou pour lesquelles il n´est pas prêt à offrir le meilleur de lui-même et de ses valeurs existentielles. Les pseudo intellectuels africains et les élites incapables et dépassées du pouvoir le comprenaient-ils ? C´est pourtant simple...et de logique existentielle primaire. croire que les autres doivent toujours nous apporter la vérité et la lumière, n´est-ce pas se livrer pieds et poings liés au dangers du faux, de l´escroquerie, á l´injustice des intérêts douteux...à l´escalvage économique, mental et culturel, comme par le passé ?

Musengeshi Katata
FR

[Shaka Bantou]

On a beau leur dire que c´est l´emploi, le revenu, la production et l´organisatiion sociale efficiente qui entretiennent et préservent autant le progrès que les valeurs sociales et culturelles...rien n´y fait, les élites africaines n´en voient pas encore l´urgence et la nécessité. Cette cécité têtue et dangereuse, n´est-ce pas ! Insupportable. a cela on voit bien l´illogisme et la défection intellectuelles de nos prétendus intellectuels ou élites du pouvoir: ils ne comprennent pas les fondements les plus fiables et les plus sécurisants de toute société humaine. produire comme nous le disons tous les jours n´est pas aussi facile qu´on le pense; il en va de même que qu´organiser efficqacement la société en financant tous ses services et ses projets d´entretien. Et pourtant, c´est dans cette systématique que se trouve réellement le développement et le vrai dynamisme du progrès car les gens apprennent à aimer, entretenir et respecter leurs revenus et leurs intérêts. A défaut d´être des génies de l´organisation sociale, on apprend à poser pierre sur pierre et à résoudre logiquement problème par problème...cela émancipe et développe l´intelligence sociale ! Il n´y a pas un moyen miracle pour obtenir de meilleurs résultats en société.

Tout cela, malgré tout, ne se décréte pas autoritairement; pour produire ou ceux qui produisent sont liés au profit et aux marché ainsi qu´à l´accroissement des revenus ménagers. Or pour financer avec les revenus de l´impôt les routes, les écoles, construire des ponts ou entretenir des politiques fiscales, il faut bien que l´Etat fasse des entrées sur l´imposition des gains des entreprises et sur les revenus. Or que voit-on, on néglige les problémes de financement social, on jette l´argent par la fenêtre en croyant qu´il s´agit, pour se développer, d´importe...On se complait dans de faux discours de révolution, de socialisme ou même dans élucubrations exaspérantes de retour aux sources ou de traditionnalisme culturel irrationnels et dépassés !

Nom de Dieu que ce dilettantisme irresponsable et choquant peut mettre en colère parce que pendant ce temps les sociétés africains sont rongées par le chômage, la pauvreté, l´ignorance, la production garde un niveau utilitaire et demeuré...les moeurs et les valeurs sociales sont détruites ou mises á mal des générations et des générations successives. Puis on entend ces illuminés parler de culture, de développement et de défi africain ? Oh, là là...pourquoi alors s´étonner que les enfants africains émigrent et tournent le dos à leurs cultures et leurs société ? On leur fait avaler une telle fausseté, une telle misère et un tel délaissement...qu´ils ont bien le droit de se demander s´ils n´était pas esclaves et mal aimés dans leurs propres sociétés ! On leur refuse bien par ignorance ou par incapacité le droit au bien-être et celui de vivre leur vie avec les meilleurs moyens qu´ils se seraient activement eux-mêmes donnés ! Qui donc accepterait de vivre joyeusement dans la pauvreté et la misère parce que quelques idiots illuminés et quelques abrutis incapables l´y enfermaient...tout en s´enrichissant scandaleusement au détriment de la société et de son peuple ?

Shaka Bantou, j´ai dit !
Forum Réalisance

[Musengeshi Kat]

A. Kit a prétendu que notre discours mettait à nu certaines vérités dévoilant la fausseté de quelques faux prédicateurs politiques africains lesquels croyaient continuer à tromper leur monde avec un opportunisme pro-occidental embusqué. Difficile à avaler logiquement, n´est-ce pas ? En clair on voulait continuer à rouler en voitures étrangères, á jeter par la fenêtre les précieuses accumulations du peuple, à croire, contre toute évidence et logique objective, qu´on peut se développer à l´aide de la technologie étrangère importée à la hâte...sans trop faire des efforts ou même promouvoir outre mesure l´emploi, l´industrie, la connaissance ou le redressement des économies africaines. Est-ce possible ? j´en doute; j´en doute absolument.

Arithmétique bantoue, dirai-je: on dépenserait ainsi plus en machines et en biens d´importations qu´on ne saurait produire avec des biens agricoles, miniers primaires ou même des produits de confection industrielle car les coûts à la production seraient bien élevés. Croire qu´ainsi on peut élever une économie ou se développer ...hem, si ce n´est pas entretenir une logique d´un illogisme mathématique...absolument stupéfiant ! Maintenant je comprends pourquoi quelqu´un me disait dernièrement que j´était un manipulateur...Son problème était que j´avait mis à découvert son absurdité. Il ne faut pas croire qu´on peut aussi facilement échapper à la raison ou au bon sens logique économique. A la fin les gens objectifs savent toujours que ni les chinois qui se développent aujourd´hui, ni les occidentaux qui se sont développés hier n´ont roulé en voitures étrangères ou attendu que l´Afrique leur fasse la technologie et développe la science et la technologie pour la leur vendre. Pour le cas particulier de l´Afrique ils auraient attendu longtemps...parce que l´Afrique elle-même est sous développée. Logique simpliste donc. On ne peut tromper que des ignorants endurcis ainsi.

Pour ma part je ne crois pas au consciencisme et aux séminaires publics pour ignorants tenus par plus ignorants ou par de grands opportunistes illuminés rêvant du pouvoir ou de pratiquer quelque révolution. Je ne crois pas non plus aux rassemblements de masse non informée ou utilisée uniquement pour faire grand bruit. Par contre je pense que chacun doit s´informer, apprendre, s´instruire sur ses intérêts et les défendre valablement. Ce genre de parti pris est plus efficace et plus fiable lorsqu´il s´entretient d´individu à individu distinctement. Celui qui ne voit pas que ses enfants souffrent, que sa femme désespère ou que son pays s´enfonce dans la pauvreté; celui qui sans emploi et sans revenu ne sait pas encore qu´il est grand temps de changer cela afin de mieux défendre ses droits et ses libertés...à quoi cela sert-il de le rassembler sur la place du marché ou lui faire de longs discours sur la conscience, s´il ne comprend rien à rien ou s´en fout de tout ? Après tout, il s´agit de sa vie, de sa femme et de ses enfants...ou pas ? C´est donc à lui de lever la voix; c´est à lui de protester, pas à quelques intellectuels ou agitateurs publics aux douteuses intentions politiques voulant instrumentaliser les maux du pauvre sans pour autant avoir les solutions claires et précises pour changer sa situation. Ou ces nouveaux tribuns ont-ils ces solutions miracles ? alors qu´ils prennent la peine de nous les présenter...

Moi je dis aux gens ce que je crois être utile à l´éclaircissement de leur information; je leur donne, dans la mesure du possible, l´occasion de voir les dessous des cartes et la complexité ou l´acuité du problème, de l´origine de leurs maux...mais se décider, cela je leur en laisse la pleine responsabilité et le choix. s´ils choisissent de ne pas agir, de continuer à s´aliéner ou de ne pas tenir compte de ceci ou cela, ils doivent en porter les conséquences personnellement. Ce n´est pas à moi de porter leurs responsabilité ou d´assumer leur conscience, c´est hors de question. Et pour dire vrai, cela importe bien peu que j´aie souvent raison comme le dit A. Kit. ou que je mette à nu quelque personne mal intentionnée, fausse ou illogique à souhait. L´important est ce que chacun fait pour soi-même, volontairement et en connaissance de cause et d´intérêt. A chacun le devoir d´aimer et défendre ses droits et ses libertés comme il l´entend. S´il n´arrive pas à ses fins, eh bien ce n´est pas de ma faute...il doit s´y prendre autrement, tout simplement. En ce qui me concerne je donne mes avis ou mon opinion; celui qui veut que je le fasse pour lui exclusivement paie mon prix; depuis que les grecs ont découvert la monnaie les choses sont bien simples et agréables à régler...

Musengeshi Katata
FR